"Nous, jeunesses de Rewmi de la banlieue, retirons notre confiance en notre président pour que notre formation politique retrouve ses valeurs fondamentales telles que la justice, la liberté, le progrès et la dignité. Nous demandons à Idrissa Seck de quitter la tête du parti avant décembre, sinon nous convoquerons de gré ou de force un congrès. Nous sommes prêts à recourir à toutes les voies juridiques pour le contraindre à la démission pour le salut de notre parti, pris en otage", tonne le coordonnateur départemental des jeunes, Cheikh Gningue.
"Nous sommes à l'approche de l'élection présidentielle de 2017. Nous, jeunesses de Rewmi de la banlieue, rappelons que les mêmes causes de nos déboires électoraux en 2017 et 2012 risquent de produire les mêmes effets en 2017 ou 2019", avertissent les jeunes dans les colonnes du Quotidien. Le responsable de ces rewmistes d'ajouter : "En 2007, à la veille du dépôt des candidatures, Idrissa Seck avait trahi le parti en allant voir Me Wade, sans l'aval du parti. Résultat : celui qui était parti favori de cette Présidentielle s'est honteusement retrouvé avec un score lamentable de moins 14% de l'électorat. Même scénario en 2012 lorsqu'il a refusé de battre campagne, préférant se donner en spectacle à la Place de l'Obélisque, la Place de l'Indépendance et Thiès. Cela n'avait rien donné".
Le coordonnateur des jeunes de Rewmi de la banlieue conclut en tutoyant "son leader" qu'il invite à rendre le tablier car, à l'en croire, il est à bout de souffle politique. "Ta politique d'autruche inopérante, caractérisée par un mutisme imperceptible des masses, a montré tes limites. Ta stratégie a donné un fiasco total surtout en termes de prospection, de massification et de fidélisation de tes militants. Sérieusement, notre parti souffre de son leader qui se cherche", a-t-il martelé.
"Nous sommes à l'approche de l'élection présidentielle de 2017. Nous, jeunesses de Rewmi de la banlieue, rappelons que les mêmes causes de nos déboires électoraux en 2017 et 2012 risquent de produire les mêmes effets en 2017 ou 2019", avertissent les jeunes dans les colonnes du Quotidien. Le responsable de ces rewmistes d'ajouter : "En 2007, à la veille du dépôt des candidatures, Idrissa Seck avait trahi le parti en allant voir Me Wade, sans l'aval du parti. Résultat : celui qui était parti favori de cette Présidentielle s'est honteusement retrouvé avec un score lamentable de moins 14% de l'électorat. Même scénario en 2012 lorsqu'il a refusé de battre campagne, préférant se donner en spectacle à la Place de l'Obélisque, la Place de l'Indépendance et Thiès. Cela n'avait rien donné".
Le coordonnateur des jeunes de Rewmi de la banlieue conclut en tutoyant "son leader" qu'il invite à rendre le tablier car, à l'en croire, il est à bout de souffle politique. "Ta politique d'autruche inopérante, caractérisée par un mutisme imperceptible des masses, a montré tes limites. Ta stratégie a donné un fiasco total surtout en termes de prospection, de massification et de fidélisation de tes militants. Sérieusement, notre parti souffre de son leader qui se cherche", a-t-il martelé.