Dans l’affaire Khalifa Ababacar Sall également, le régime du Président Sall a été accusé d’avoir utilisé la justice pour combattre un adversaire, coupable de s’être conformé une pratique en cours à la ville de Dakar depuis des décennies et qui n’a jamais soulevé de problèmes. Pendant ce temps, la plupart des accusations contre les tenants du régime sont placées sous le coude.
Dernièrement, sous le magistère du président Souleymane Téliko, les magistrats se sont beaucoup battus pour plus d’indépendance de la magistrature.
A ce jour, quand on parle de caporalisation de la Justice, le principal argument c’est le contrôle presque absolu du chef de l’Exécutif sur la carrière des magistrats. A un moment, le président de la République avait mis en place une commission dont la présidence a été confiée au professeur Isaac Yankhoba Ndiaye.
Mais les conclusions sont à ce jour dans les tiroirs du Palais de la République. Aujourd’hui, tenant compte de cette mainmise de l’Exécutif sur le Judiciaire, ils sont nombreux les politiciens à crier systématiquement à l’instrumentalisation de la Justice, parfois à raison, parfois à tort. Le pire, c’est que le régime semble se satisfaire de l’existant et ne mène aucune initiative pour un restaurer la confiance des Sénégalais envers leur Justice.
Dernièrement, sous le magistère du président Souleymane Téliko, les magistrats se sont beaucoup battus pour plus d’indépendance de la magistrature.
A ce jour, quand on parle de caporalisation de la Justice, le principal argument c’est le contrôle presque absolu du chef de l’Exécutif sur la carrière des magistrats. A un moment, le président de la République avait mis en place une commission dont la présidence a été confiée au professeur Isaac Yankhoba Ndiaye.
Mais les conclusions sont à ce jour dans les tiroirs du Palais de la République. Aujourd’hui, tenant compte de cette mainmise de l’Exécutif sur le Judiciaire, ils sont nombreux les politiciens à crier systématiquement à l’instrumentalisation de la Justice, parfois à raison, parfois à tort. Le pire, c’est que le régime semble se satisfaire de l’existant et ne mène aucune initiative pour un restaurer la confiance des Sénégalais envers leur Justice.