A en croire des sources du journal, très au fait des activités administratives du Cabinet présidentiel, l'on s'attelle à la définition des contours des dispositions politico-administratives finalement retenues et qui doivent constituer la charpente des motifs du projet de loi sur le référendum en question. Le président de la République tient en main les réformes institutionnelles qu'il souhaite soumettre à l'appréciation des Sénégalais par la voie des urnes.
Ses plus proches collaborateurs en la matière auraient déjà la mouture des textes et y mettent la dernière main avant que le principal concerné ne s'en ouvre aux autorités politiques et administratives devant en prendre connaissance au stade de la confidentialité. Si les questions majeures, outre la réduction de la durée du mandat présidentiel, qui appelleront le "Oui" ou le "Non" des Sénégalais lors du référendum, sont encore tenues secrètes, dans le Cabinet présidentiel, on parle d'ores et déjà d'un projet de révision constitutionnelle dictée par le professeur de Droit Ismaëla Madior Fall dont les positions dans les différents échanges avec les autres acteurs des réformes ont presque toutes été entérinées par son mentor. Et, selon cet habitué de l'espace présidentiel, "on peut valablement dire qu'il a eu l'oreille du Président dans le choix des questions auxquelles les Sénégalais devront répondre par voie référendaire en 2016. Force est de reconnaître aussi qu'il est à son aise en matière de révision constitutionnelle pour avoir capitalisé une solide expérience nationale comme internationale. Il était donc dans son élément, mais aussi dans son rôle de conseiller du président de la République. Le projet de loi est de son empreinte quasi-personnelle".
C'est dire que, d'après l'informateur de nos confrères, le Président Sall n'entend pas donner suite aux revendications ou plutôt aux agitations des jeunesses du Parti socialiste (Ps) qui exigeaient la tenue du référendum en 2015. Il a néanmoins discuté longuement avec Ousmane Tanor Dieng. Et sur ce plan, les nuages d'incompréhension qui alourdissaient l'atmosphère dans un camp comme dans l'autre se sont vite dissipés au lendemain de l'entrevue entre les leaders de l'Apr et du Ps, affirme la source du journal.
Ses plus proches collaborateurs en la matière auraient déjà la mouture des textes et y mettent la dernière main avant que le principal concerné ne s'en ouvre aux autorités politiques et administratives devant en prendre connaissance au stade de la confidentialité. Si les questions majeures, outre la réduction de la durée du mandat présidentiel, qui appelleront le "Oui" ou le "Non" des Sénégalais lors du référendum, sont encore tenues secrètes, dans le Cabinet présidentiel, on parle d'ores et déjà d'un projet de révision constitutionnelle dictée par le professeur de Droit Ismaëla Madior Fall dont les positions dans les différents échanges avec les autres acteurs des réformes ont presque toutes été entérinées par son mentor. Et, selon cet habitué de l'espace présidentiel, "on peut valablement dire qu'il a eu l'oreille du Président dans le choix des questions auxquelles les Sénégalais devront répondre par voie référendaire en 2016. Force est de reconnaître aussi qu'il est à son aise en matière de révision constitutionnelle pour avoir capitalisé une solide expérience nationale comme internationale. Il était donc dans son élément, mais aussi dans son rôle de conseiller du président de la République. Le projet de loi est de son empreinte quasi-personnelle".
C'est dire que, d'après l'informateur de nos confrères, le Président Sall n'entend pas donner suite aux revendications ou plutôt aux agitations des jeunesses du Parti socialiste (Ps) qui exigeaient la tenue du référendum en 2015. Il a néanmoins discuté longuement avec Ousmane Tanor Dieng. Et sur ce plan, les nuages d'incompréhension qui alourdissaient l'atmosphère dans un camp comme dans l'autre se sont vite dissipés au lendemain de l'entrevue entre les leaders de l'Apr et du Ps, affirme la source du journal.