Suite au décès de la jeune Anta Ndiaye, âgée de huit (8) ans à Bargny et de l’émoi général que cet acte odieux perpétré par deux mineurs avait suscité, des enfants du département de Rufisque ont initié ce week-end, une marche pour « interpeller les décideurs et sensibiliser l’opinion », renseigne Rewmi.
Ils étaient venus nombreux : élèves, parents, « Badienu Gokh », Imams, délégués de quartier, citoyens lambda ont répondu à l’appel initié par le Conseil consultatif de Rufisque à la marche de Bargny de ce samedi pour dire « Non aux violences faites aux enfants ». Cette initiative a été prise par ce collectif d’enfants engagé dans la Protection et la Promotion des Droits de l’enfant suite aux violences quasi récurrentes notées dans le pays, dont le point culminant a été le meurtre d’une enfant de huit ans à Bargny. C’était le Lundi 25 Avril 2022 dernier.
La population Bargnyoise et le Sénégal dans tous ses segments avaient été secoués par la mort de cette jeune fille dans des conditions atroces. Ainsi pour « alerter, interpeller et sensibiliser », ce collectif d’enfants (le Conseil Consultatif) accompagné par la CONAFE Sénégal, des jeunes activistes de Bargny et la Commune de Bargny, a initié cette marche. Pour Matou Amar qui parlait au nom de ses pairs enfants, les violences et maltraitances des enfants sont devenues récurrentes avec des conséquences insoutenables qui ne laissent personne indifférent. « Tous les acteurs de la protection, l’Etat, les parents, la société civile, les Imans, les « Badiénus Gok », bref, tous doivent se lever pour dire Non à ces violences faites aux enfants », soutient-elle. Signalons que cette marche bien encadrée par les Forces de l’ordre a aussi eu la collaboration de la population de Bargny qui a soutenu les aux enfants tout le long de leur caravane.
Ils étaient venus nombreux : élèves, parents, « Badienu Gokh », Imams, délégués de quartier, citoyens lambda ont répondu à l’appel initié par le Conseil consultatif de Rufisque à la marche de Bargny de ce samedi pour dire « Non aux violences faites aux enfants ». Cette initiative a été prise par ce collectif d’enfants engagé dans la Protection et la Promotion des Droits de l’enfant suite aux violences quasi récurrentes notées dans le pays, dont le point culminant a été le meurtre d’une enfant de huit ans à Bargny. C’était le Lundi 25 Avril 2022 dernier.
La population Bargnyoise et le Sénégal dans tous ses segments avaient été secoués par la mort de cette jeune fille dans des conditions atroces. Ainsi pour « alerter, interpeller et sensibiliser », ce collectif d’enfants (le Conseil Consultatif) accompagné par la CONAFE Sénégal, des jeunes activistes de Bargny et la Commune de Bargny, a initié cette marche. Pour Matou Amar qui parlait au nom de ses pairs enfants, les violences et maltraitances des enfants sont devenues récurrentes avec des conséquences insoutenables qui ne laissent personne indifférent. « Tous les acteurs de la protection, l’Etat, les parents, la société civile, les Imans, les « Badiénus Gok », bref, tous doivent se lever pour dire Non à ces violences faites aux enfants », soutient-elle. Signalons que cette marche bien encadrée par les Forces de l’ordre a aussi eu la collaboration de la population de Bargny qui a soutenu les aux enfants tout le long de leur caravane.