Une réquisition par décret présidentiel, destinée aux agents de la Sde a été lancée par l’Etat, suite à un mouvement de grève. Ainsi, il a été révélé que le droit de réquisition, le droit de grève et de liberté syndicale est aussi garanti par la constitution. « L’Etat a le droit de réquisitionner. Mais, le droit de grève et de liberté syndicale est aussi garanti par la constitution. L’Etat doit toujours balancer de sorte à ne pas exercer une puissance excessive. La force publique, dans un Etat de droit, doit s’autolimiter », a expliqué Alioune Tine.
Tout comme la monnaie, la gestion de l’eau, relève-t-il, est aussi une question de souveraineté. La renationalisation, une « denrée stratégique », relève du patriotisme économique. « L’eau est devenue une ressource extrêmement stratégique, rare. Et, il y en a énormément dans le Sahel », reconnaît-il.
S’interrogeant sur les motivations de la privatisation de l’eau, il précise que les problèmes de souveraineté posés, ne se pose pas seulement pour la monnaie. Ils concernent aussi, un certain nombre de denrées, stratégiques, devant être gérées par l’Etat. « S’il y a des travailleurs qui disent nous voulons une participation, cela doit faire l’objet d’un débat tranquille. 10%, 15% quand c’est bien géré ensemble avec l’Etat. Je pense qu’il faut en discuter sereinement. Ne serait-ce que pour le contenu local. La participation responsable n’est pas à criminaliser », prévient-il.
Tout comme la monnaie, la gestion de l’eau, relève-t-il, est aussi une question de souveraineté. La renationalisation, une « denrée stratégique », relève du patriotisme économique. « L’eau est devenue une ressource extrêmement stratégique, rare. Et, il y en a énormément dans le Sahel », reconnaît-il.
S’interrogeant sur les motivations de la privatisation de l’eau, il précise que les problèmes de souveraineté posés, ne se pose pas seulement pour la monnaie. Ils concernent aussi, un certain nombre de denrées, stratégiques, devant être gérées par l’Etat. « S’il y a des travailleurs qui disent nous voulons une participation, cela doit faire l’objet d’un débat tranquille. 10%, 15% quand c’est bien géré ensemble avec l’Etat. Je pense qu’il faut en discuter sereinement. Ne serait-ce que pour le contenu local. La participation responsable n’est pas à criminaliser », prévient-il.