près avoir énuméré les points faibles et les failles de l'État du Sénégal dans la gouvernance galopante, le fondateur d’Afrikajom Center a fait des recommandations pour redresser le navire qui tangue. Alioune Tine, a présenté son rapport sur « Les nouvelles pathologies de la démocratie en Afrique de l'Ouest : Crise de l'État de droit, de la démocratie représentative et de la gouvernance », où il a proposé sept recommandations.
Ainsi, il propose : De renforcer la stabilité et la sécurité constitutionnelle, surtout sur la question de la durée et du nombre de mandat ; De régler la question du consensus électoral dans la durée sur le fichier, le parrainage et les organes de régulations et de règlement du contentieux ; De permettre à la justice de garantir la liberté d'expression et de manifestation, pour que les citoyens puissent la saisir et qu'elle rende des décisions en matière de démocratie et de droits de l'homme. Poursuivant, il note, de renforcer les organes et les outils de régulation pour lutter contre la corruption, car sans cela, il serait illusoire de parler d'émergence ; De renforcer les moyens, l'indépendance et les pouvoirs de ces organes de régulation ; De demander à la Cour des Comptes de travailler de manière étroite avec le Procureur ; De créer un pôle financier indépendant qui pourrait remplacer la CREI, dont la mission serait d’une part de se saisir de tous les dossiers relatifs aux détournements de fonds, à la corruption et à la concussion, et d'autre part d'exploiter les rapports de la Cour des Comptes , de l’IGE, de l’OFNAC et de poursuivre tous les cas avérés et graves de dérives financières dans la gestion des affaires publiques.
Ainsi avec ces recommandations, le fondateur d’Afrikajom Center estime que la situation politique du Sénégal minée par les tensions entre le pouvoir et l'opposition pourrait être calmée...
Ainsi, il propose : De renforcer la stabilité et la sécurité constitutionnelle, surtout sur la question de la durée et du nombre de mandat ; De régler la question du consensus électoral dans la durée sur le fichier, le parrainage et les organes de régulations et de règlement du contentieux ; De permettre à la justice de garantir la liberté d'expression et de manifestation, pour que les citoyens puissent la saisir et qu'elle rende des décisions en matière de démocratie et de droits de l'homme. Poursuivant, il note, de renforcer les organes et les outils de régulation pour lutter contre la corruption, car sans cela, il serait illusoire de parler d'émergence ; De renforcer les moyens, l'indépendance et les pouvoirs de ces organes de régulation ; De demander à la Cour des Comptes de travailler de manière étroite avec le Procureur ; De créer un pôle financier indépendant qui pourrait remplacer la CREI, dont la mission serait d’une part de se saisir de tous les dossiers relatifs aux détournements de fonds, à la corruption et à la concussion, et d'autre part d'exploiter les rapports de la Cour des Comptes , de l’IGE, de l’OFNAC et de poursuivre tous les cas avérés et graves de dérives financières dans la gestion des affaires publiques.
Ainsi avec ces recommandations, le fondateur d’Afrikajom Center estime que la situation politique du Sénégal minée par les tensions entre le pouvoir et l'opposition pourrait être calmée...