Sur la question de la troisième candidature, le Président Macky Sall a consulté Guillaume Drago. Ce dernier est professeur à l'Université de Paris II-Panthéon Assas, doyen honoraire de la Faculté de Droit et de Sciences politiques de Rennes.
Le juriste français, au terme de son analyse, a conclu que Macky Sall peut se présenter en 2024, en vue d’un troisième mandat ou un second quinquennat. Pour Mimi Touré, c’est une aberration que le chef de l’Etat aille consulter un juriste français sur une question éminemment sénégalaise.
«Voilà pourquoi il est difficile aussi qu’on se fasse respecter au niveau international», a déclaré l’ex cheffe du gouvernement. Pour elle, Ismaïla Madior Fall, professeur de droit constitutionnel émérite, doit en tirer une leçon.
Sur le fond, Aminata Touré déclare qu’aujourd’hui, on n’est plus à une étape d’interprétation de la Constitution.
«Le président de la République l’a suffisamment interprété pour nous, à travers des vidéos, il l’a expliqué, indépendamment de son engagement moral de ne plus chercher un autre mandat. Aujourd’hui, la constitution est très claire, il doit l’appliquer. Il n’y a aucun juriste qui pourrait donner une autre explication que nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs», insiste-t-elle.
Avec iGFM
Le juriste français, au terme de son analyse, a conclu que Macky Sall peut se présenter en 2024, en vue d’un troisième mandat ou un second quinquennat. Pour Mimi Touré, c’est une aberration que le chef de l’Etat aille consulter un juriste français sur une question éminemment sénégalaise.
«Voilà pourquoi il est difficile aussi qu’on se fasse respecter au niveau international», a déclaré l’ex cheffe du gouvernement. Pour elle, Ismaïla Madior Fall, professeur de droit constitutionnel émérite, doit en tirer une leçon.
Sur le fond, Aminata Touré déclare qu’aujourd’hui, on n’est plus à une étape d’interprétation de la Constitution.
«Le président de la République l’a suffisamment interprété pour nous, à travers des vidéos, il l’a expliqué, indépendamment de son engagement moral de ne plus chercher un autre mandat. Aujourd’hui, la constitution est très claire, il doit l’appliquer. Il n’y a aucun juriste qui pourrait donner une autre explication que nul ne peut faire plus de deux mandats consécutifs», insiste-t-elle.
Avec iGFM