Alors que l’actuel ministre du Tourisme jure qu’il n’a jamais été épinglé par un rapport de l’Inspection générale des finances (Ige) dans le cadre de la gestion du Prodac lors de son passage au ministre de la Jeunesse au point de porter plainte contre le leader de Pastef, Birahim Seck, un des premiers acteurs à parler de ce scandale au niveau du Prodac à travers son ouvrage intitulé « Lettre au peuple : Prodac, un festin de 36 milliards de Fcfa » publié en 2019 est revenu à la charge.
Dans un message partagé sur son compte tweeter le samedi 18 février, deux jours après le deuxième renvoi de ce procès sur intervention du Bâtonnier des avocats, le Coordonnateur du Forum civil a partagé la copie d’une lettre signée par Mame Mbaye Niang à l’époque ministre de la Jeunesse accompagné d’un petit commentaire.
« Mame Mbaye Niang, si, au Sénégal, la justice était proactive en matière de redevabilité financière, vous n’auriez sans doute pas donné d’interview. Je poste ici, pour rappel l’Ordre de service que vous aviez signé, et qui a déclenché le carnage financier opéré au Prodac », a-t-il lancé.
Sud quotidien
Dans un message partagé sur son compte tweeter le samedi 18 février, deux jours après le deuxième renvoi de ce procès sur intervention du Bâtonnier des avocats, le Coordonnateur du Forum civil a partagé la copie d’une lettre signée par Mame Mbaye Niang à l’époque ministre de la Jeunesse accompagné d’un petit commentaire.
« Mame Mbaye Niang, si, au Sénégal, la justice était proactive en matière de redevabilité financière, vous n’auriez sans doute pas donné d’interview. Je poste ici, pour rappel l’Ordre de service que vous aviez signé, et qui a déclenché le carnage financier opéré au Prodac », a-t-il lancé.
Sud quotidien