La lecture du rapport historique sur Hussein Habré, l’homme au parcours atypique, par le premier témoin Arnaud Dingammadji, historien et expert contacté par les Chambres africaines extraordinaires, en 2013, a permis de montrer le vrai visage de l’homme fort de N’djamena. Selon M. Dingammadji, « il (Habré) n’est pas arrivé au pouvoir par hasard. Le parcours de l’ancien Président tchadien est très dense ». Il est réparti en trois phases : « La première phase c’est de 1942 année de sa naissance jusqu’à l’année de la suspension de ses études en France, en 1971, pour revenir au Tchad, la seconde phase est la phase de la tentative de prise du pouvoir de Habré, de 1979 à 1982, et, enfin, la troisième étape qui est l’année du pouvoir, de 1982 à 1990 ».
Son opposition au pouvoir de Kadhafi a permis à Hussein Habré de gravir tous les échelons jusqu’à la prise du pouvoir des mains de Goukouni Oueddei. Il a été nommé sous préfet à Faya, en 1962, avant de rejoindre la France pour la poursuite de ses études. Il s’est inscrit à la prestigieuse école Science politique.
Pour Dingammadji, la phase d’émergence politique est très riche en enseignement : « Hussein Habré a utilisé la stratégie du cheval de Troie pour se rapprocher des leaders comme François Tombalbay, Goukouni Oueddeï ».
Selon, l’historien Dingammadji, Habré est l’homme politique le plus radicale face à l’hégémonie lybienne de Kadahfi. Sa position ferme lui a permis de gravir tous les échelons jusqu’à sa nomination comme ministre, par le Président Malmou, après l’accord de Khartoum en 1978. Mais, soutient-il, lorsqu’il a eu des problèmes avec Malmou, Habré a défendu la religion musulmane. Il a aussi défendu le sud pendant la guerre civile de 1979. Il a joué un rôle important pendant la guerre civile de 1979. Malgré cela, il a eu le soutien de la communauté européenne. Il a été considéré comme l’homme politique qui pouvait amener la paix au Tchad pendant la guerre civile de 1979.
Son opposition au pouvoir de Kadhafi a permis à Hussein Habré de gravir tous les échelons jusqu’à la prise du pouvoir des mains de Goukouni Oueddei. Il a été nommé sous préfet à Faya, en 1962, avant de rejoindre la France pour la poursuite de ses études. Il s’est inscrit à la prestigieuse école Science politique.
Pour Dingammadji, la phase d’émergence politique est très riche en enseignement : « Hussein Habré a utilisé la stratégie du cheval de Troie pour se rapprocher des leaders comme François Tombalbay, Goukouni Oueddeï ».
Selon, l’historien Dingammadji, Habré est l’homme politique le plus radicale face à l’hégémonie lybienne de Kadahfi. Sa position ferme lui a permis de gravir tous les échelons jusqu’à sa nomination comme ministre, par le Président Malmou, après l’accord de Khartoum en 1978. Mais, soutient-il, lorsqu’il a eu des problèmes avec Malmou, Habré a défendu la religion musulmane. Il a aussi défendu le sud pendant la guerre civile de 1979. Il a joué un rôle important pendant la guerre civile de 1979. Malgré cela, il a eu le soutien de la communauté européenne. Il a été considéré comme l’homme politique qui pouvait amener la paix au Tchad pendant la guerre civile de 1979.