Pour matérialiser la mise en œuvre de l'axe 3 du Plan Sénégal Emergent intitulé « Capital humain, protection sociale et développement durable », l’État du Sénégal a décidé, à travers son approche humaniste, de traduire cette volonté affichée pour une amélioration continue des conditions de vie de ses concitoyens en général, et des agents l'État en particulier.
Dans ce sillage, le conseil des ministres tenu le 20 janvier 2021, était l’occasion, pour le président de la République d’inviter le gouvernement du Sénégal à relancer les « prêts DMC », en relation avec le système bancaire national. Ainsi, pour donner corps à cette directive du chef de l'État, des rencontres ont été organisées avec les directeurs généraux des banques de la place aux fins de l'externalisation du financement des prêts au logement inscrite dans le protocole d'accord que le gouvernement a signé avec les organisations syndicales en 2018. Fort de ce constat, le ministère des finances et du budget a bien compris cet enjeu qui soutient les fonctionnaires dans le cadre de leur logement.
Il faut rappeler que l'externalisation est la résorption, sur une période de quatre ans, du stock de demandes de prêt en instance au 31 décembre 2020. Il s'agit aussi d'une solution alternative consistant à faire intervenir les banques partenaires dans la prise en charge des demandes de prêt DMC. Elle repose donc sur le mécanisme de la bonification des intérêts qui est une opération par laquelle, l'agent de l’État reçoit un prêt à taux zéro et l’État prend en charge les intérêts appliqués par les banques partenaires.
Même si le cadre réglementaire régissant ce mécanisme a connu plusieurs modifications à travers le temps, notamment celle de 2006 qui a consacré l'augmentation du montant-plafond du prêt qui est passé de deux millions à cinq millions de francs CFA et la prolongation du délai maximum de remboursement qui est passé de cinq à sept ans. En 2009, l’État avait jugé nécessaire d’intervenir. Donc pour des raisons budgétaires, l'arbitrage n'a pas toujours été favorable à la poursuite de la satisfaction des demandes. Il s'en est suivi une accumulation des dossiers de « prêts DMC » en instance de traitement qui s'élèvent aujourd'hui à plus de 38.000 demandes représentant un montant global d'environ 152 milliards de FCFA.
Grâce à cette convention paraphée aujourd’hui entre le système bancaire national représenté par Mamadou Bocar Ly, Président Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers du Sénégal (APBEF-S) et l’État du Sénégal à travers le ministère des finances et du budget, de prendre en charge ce cumul pour alléger les demandes en logement des agents de l’État et au soulagement également des banques.
Dans ce sillage, le conseil des ministres tenu le 20 janvier 2021, était l’occasion, pour le président de la République d’inviter le gouvernement du Sénégal à relancer les « prêts DMC », en relation avec le système bancaire national. Ainsi, pour donner corps à cette directive du chef de l'État, des rencontres ont été organisées avec les directeurs généraux des banques de la place aux fins de l'externalisation du financement des prêts au logement inscrite dans le protocole d'accord que le gouvernement a signé avec les organisations syndicales en 2018. Fort de ce constat, le ministère des finances et du budget a bien compris cet enjeu qui soutient les fonctionnaires dans le cadre de leur logement.
Il faut rappeler que l'externalisation est la résorption, sur une période de quatre ans, du stock de demandes de prêt en instance au 31 décembre 2020. Il s'agit aussi d'une solution alternative consistant à faire intervenir les banques partenaires dans la prise en charge des demandes de prêt DMC. Elle repose donc sur le mécanisme de la bonification des intérêts qui est une opération par laquelle, l'agent de l’État reçoit un prêt à taux zéro et l’État prend en charge les intérêts appliqués par les banques partenaires.
Même si le cadre réglementaire régissant ce mécanisme a connu plusieurs modifications à travers le temps, notamment celle de 2006 qui a consacré l'augmentation du montant-plafond du prêt qui est passé de deux millions à cinq millions de francs CFA et la prolongation du délai maximum de remboursement qui est passé de cinq à sept ans. En 2009, l’État avait jugé nécessaire d’intervenir. Donc pour des raisons budgétaires, l'arbitrage n'a pas toujours été favorable à la poursuite de la satisfaction des demandes. Il s'en est suivi une accumulation des dossiers de « prêts DMC » en instance de traitement qui s'élèvent aujourd'hui à plus de 38.000 demandes représentant un montant global d'environ 152 milliards de FCFA.
Grâce à cette convention paraphée aujourd’hui entre le système bancaire national représenté par Mamadou Bocar Ly, Président Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers du Sénégal (APBEF-S) et l’État du Sénégal à travers le ministère des finances et du budget, de prendre en charge ce cumul pour alléger les demandes en logement des agents de l’État et au soulagement également des banques.