Permettre aux populations de mieux bénéficier des avantages de la finance Islamique, c’est l’objectif d’un atelier de renforcement des capacités des services financiers décentralisés sur « l’opérationnalisation de la micro finance islamique. Cette rencontre de 5 jours, organisée, notamment, en perspective de la préparation du Palam 2, est, selon Khady Ndiaye Fall Mbacké, d’une importance capitale puisqu’elle réconforte les objectifs de ce programme qui a pour but « de renforcer les capacités d’accès à une éducation de qualité des enfants âgés de 9 à 15 ans déscolarisés de manière précoce, non scolarisés et ceux des daaras » ; mais également, de répondre « aux besoins éducatifs des jeunes et des adultes âgés de 16 à 24 ans, par la mise à disposition d’une formation qualifiante selon les opportunités locales leur permettant d’acquérir des qualifications requises », a fait savoir la directrice du Palam.
Le secrétaire général du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance a indiqué que les autorités sénégalaises ont pris l’engagement d’aller vers un développement social inclusif « celle-là même capable de donner satisfaction aux besoins des populations », a informé Sidy Guèye pour qui le financement des femmes est une priorité. Ce qui le pousse à dire : « Nous nous sommes rendu compte qu’à un tournant de l’époque, la finance islamique devenait un outil important dans la résolution des problèmes que traversent les femmes dans l’accès aux financements », a reconnu M. Guèye. A l’en croire, depuis qu’ils ont commencé à expérimenter la finance islamique, ils ont « des résultats probants, favorables à (leur) objectif de faire un développement social inclusif avec la participation de toutes les composantes de la population », a-t-il indiqué.
Au sortir de cette rencontre qui est une initiative du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, en collaboration avec la Banque islamique de développement, les initiateurs arriveront à « l’unité de gestion du programme et à l’ensemble des acteurs directement impliqués dans la mise en œuvre du volet financement islamique, de renforcer leurs compétences afin de trouver des solutions idoines aux difficultés rencontrées à tous les niveaux », a dit, confiant, le représentant du Directeur du bureau régional de la Bid.
Le secrétaire général du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance a indiqué que les autorités sénégalaises ont pris l’engagement d’aller vers un développement social inclusif « celle-là même capable de donner satisfaction aux besoins des populations », a informé Sidy Guèye pour qui le financement des femmes est une priorité. Ce qui le pousse à dire : « Nous nous sommes rendu compte qu’à un tournant de l’époque, la finance islamique devenait un outil important dans la résolution des problèmes que traversent les femmes dans l’accès aux financements », a reconnu M. Guèye. A l’en croire, depuis qu’ils ont commencé à expérimenter la finance islamique, ils ont « des résultats probants, favorables à (leur) objectif de faire un développement social inclusif avec la participation de toutes les composantes de la population », a-t-il indiqué.
Au sortir de cette rencontre qui est une initiative du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, en collaboration avec la Banque islamique de développement, les initiateurs arriveront à « l’unité de gestion du programme et à l’ensemble des acteurs directement impliqués dans la mise en œuvre du volet financement islamique, de renforcer leurs compétences afin de trouver des solutions idoines aux difficultés rencontrées à tous les niveaux », a dit, confiant, le représentant du Directeur du bureau régional de la Bid.