Si lors de la Conférence des leaders de l'opposition, il est question d'une manifestation politique, à en croire Ousmane Sonko, qui a pourtant carrément appelé à la résistance depuis plusieurs semaines, la donne est toute autre pour l'Etat sénégalais.
"Si nous ratons cette manifestation, on n'en fera plus durant les 18 mois qui restent à Macky Sall. Il paufine sa stratégie, mais cela ne passera pas", a-t-il dit. Cependant, dans cette même opposition, certains sont partants pour une marche pacifique, mais veulent aussi qu'Ousmane Sonko assume personnellement et entièrement ce qui s'y passera.
"Pour quelque raison que ce soit, nous ne devons pas répondre ou donner de la suite à cet appel à l’insurrection lancé le 23 mai dernier par M. Ousmane SONKO, leader du Pastef. Qu’il en assume directement et personnellement toutes les conséquences de droit qui peuvent en découler, parce que malgré nos divergences et nos ambitions, la stabilité du Sénégal prime sur les ambitions crypto personnelles des uns et des autres.
Le temps est venu qu’on dise la vérité aux sénégalais afin que nul n’ignore que la première faute dans cette affaire d’invalidation des listes nous incombe d’abord, dans la mesure où nos soi-disant leaders qui étaient préposés aux taches de confections et de dépôts des listes n’ont pas été à la hauteur de leurs missions. Ils ont fait preuve d’un amateurisme que rien ne peut expliquer, compte tenu du caractère très important des élections du 31 juillet 2022. En vérité, il n’y a pas de magie, car ces listes qui ont été rejeté ont été confectionnées puis déposées en toute conscience par nos propres mandataires.
Dans le contexte actuel de crise mondiale, la priorité de toute la classe politique doit être orientée dans le sens de trouver des solutions aux difficultés qui n’épargnent pas le Sénégal. Il s’agira, en lieu et place des menaces et surenchères, de trouver par tous les moyens des voies de sortie de crise. Une crise politique sera, à coup sûr, lourde de conséquences pour les populations déjà durement éprouvées", a rappelé Alinard Ndiaye, responsable politique au Pds et membre de YAW avec Wallu Sénégal.
Il déclare, "nous invitons aussi les très respectueux et expérimentés leaders de cette coalition de prouver leur grandeur et leur sens patriotique en refusant d’abord cette dictature et terrorisme qui règnent dans Yewwi Askan Wi.
Nous invitons ces derniers à refuser d’être des wagons et suiveurs, car le pays se trouve dans un tournant décisif de son histoire politique.
Pour terminer, nous invitons à ne pas fléchir afin de garantir une stabilité du pays, quel qu’en soit le prix".
"Si nous ratons cette manifestation, on n'en fera plus durant les 18 mois qui restent à Macky Sall. Il paufine sa stratégie, mais cela ne passera pas", a-t-il dit. Cependant, dans cette même opposition, certains sont partants pour une marche pacifique, mais veulent aussi qu'Ousmane Sonko assume personnellement et entièrement ce qui s'y passera.
"Pour quelque raison que ce soit, nous ne devons pas répondre ou donner de la suite à cet appel à l’insurrection lancé le 23 mai dernier par M. Ousmane SONKO, leader du Pastef. Qu’il en assume directement et personnellement toutes les conséquences de droit qui peuvent en découler, parce que malgré nos divergences et nos ambitions, la stabilité du Sénégal prime sur les ambitions crypto personnelles des uns et des autres.
Le temps est venu qu’on dise la vérité aux sénégalais afin que nul n’ignore que la première faute dans cette affaire d’invalidation des listes nous incombe d’abord, dans la mesure où nos soi-disant leaders qui étaient préposés aux taches de confections et de dépôts des listes n’ont pas été à la hauteur de leurs missions. Ils ont fait preuve d’un amateurisme que rien ne peut expliquer, compte tenu du caractère très important des élections du 31 juillet 2022. En vérité, il n’y a pas de magie, car ces listes qui ont été rejeté ont été confectionnées puis déposées en toute conscience par nos propres mandataires.
Dans le contexte actuel de crise mondiale, la priorité de toute la classe politique doit être orientée dans le sens de trouver des solutions aux difficultés qui n’épargnent pas le Sénégal. Il s’agira, en lieu et place des menaces et surenchères, de trouver par tous les moyens des voies de sortie de crise. Une crise politique sera, à coup sûr, lourde de conséquences pour les populations déjà durement éprouvées", a rappelé Alinard Ndiaye, responsable politique au Pds et membre de YAW avec Wallu Sénégal.
Il déclare, "nous invitons aussi les très respectueux et expérimentés leaders de cette coalition de prouver leur grandeur et leur sens patriotique en refusant d’abord cette dictature et terrorisme qui règnent dans Yewwi Askan Wi.
Nous invitons ces derniers à refuser d’être des wagons et suiveurs, car le pays se trouve dans un tournant décisif de son histoire politique.
Pour terminer, nous invitons à ne pas fléchir afin de garantir une stabilité du pays, quel qu’en soit le prix".