Les cinquante-trois (53) ex-travailleurs de la Biscuiterie Wehbé continuent de réclamer le paiement de leurs droits, douze (12) ans après leur licenciement, qu'ils jugent arbitraire.
"Nous nous sommes réunis aujourd'hui (hier, ndlr) pour exiger le paiement de nos droits. Nous avons été licenciés de manière abusive en 2010. Depuis lors, nous courrons derrière le paiement de nos droits", clame Amadou Diallo.
"Différentes raisons ont été avancées pour nous mettre à la porte. Ce qui a eu d'énormes préjudices sur notre vie", peste M. Diallo. À en croire ces ex-travailleurs, ils souffrent toujours le martyr.
"Certains pères et mères de famille se sont retrouvés sans abris, car n'ayant plus de quoi payer le loyer. Des familles se sont disloquées. Il y en a même qui sont morts à cause du chagrin. Il est temps que notre employeur nous rétablisse dans nos droits, car nous avons été radiés sur aucune base fondée", s'indigne à nouveau Amadou Diallo.
À les en croire toujours, depuis lors? leur dossier est entre les mains de la justice, mais il n’avance pas. Ce qu’ils n’ont pas manqué de dénoncer avec la dernière énergie.
«La justice a condamné notre employeur mais il refuse de s’exécuter. Pourquoi ? Nous n’en savons rien. Nous interpellons le Président Macky Sall à intercéder pour que notre ex-employeur nous paie», soutient Ousseynou Bodian, le porte-parole des ex-travailleurs.
"Nous nous sommes réunis aujourd'hui (hier, ndlr) pour exiger le paiement de nos droits. Nous avons été licenciés de manière abusive en 2010. Depuis lors, nous courrons derrière le paiement de nos droits", clame Amadou Diallo.
"Différentes raisons ont été avancées pour nous mettre à la porte. Ce qui a eu d'énormes préjudices sur notre vie", peste M. Diallo. À en croire ces ex-travailleurs, ils souffrent toujours le martyr.
"Certains pères et mères de famille se sont retrouvés sans abris, car n'ayant plus de quoi payer le loyer. Des familles se sont disloquées. Il y en a même qui sont morts à cause du chagrin. Il est temps que notre employeur nous rétablisse dans nos droits, car nous avons été radiés sur aucune base fondée", s'indigne à nouveau Amadou Diallo.
À les en croire toujours, depuis lors? leur dossier est entre les mains de la justice, mais il n’avance pas. Ce qu’ils n’ont pas manqué de dénoncer avec la dernière énergie.
«La justice a condamné notre employeur mais il refuse de s’exécuter. Pourquoi ? Nous n’en savons rien. Nous interpellons le Président Macky Sall à intercéder pour que notre ex-employeur nous paie», soutient Ousseynou Bodian, le porte-parole des ex-travailleurs.