Juan Branco, l’avocat français de Sonko, a déclaré des poursuites contre le chef de l’Etat, Macky Sall, pour « crimes contre l’humanité » devant la justice française et la Cour pénale internationale (Cpi).
Selon leSoleil.sn, la ministre des Affaires étrangères, Me Aïssata Tall Sall a répondu à Branco. Invitée de Rfi et France 24 ce jeudi, elle indique : « je suis avocate avant d’être une femme politique et ministre. Je trouve que cette démarche est à la fois puérile et ridicule ». Selon elle, il y a 3 façons pour saisir la Cpi.
« Il faut que ça soit un Etat partie, il faut que ça soit le Conseil de sécurité des Nations–Unies, il faut que ça soit le procureur. Où va-t-il saisir la Cpi sans saisir le procureur ? », martèle-t-elle.
Elle est convaincue que le procureur doit vérifier la complémentarité de l’action judiciaire. « C’est-à-dire la Cpi ne peut pas se prononcer tant qu’il y a une justice internationale qui suit son cours pour les mêmes faits et c’est le cas au Sénégal », a-t-elle ajouté.
Selon leSoleil.sn, la ministre des Affaires étrangères, Me Aïssata Tall Sall a répondu à Branco. Invitée de Rfi et France 24 ce jeudi, elle indique : « je suis avocate avant d’être une femme politique et ministre. Je trouve que cette démarche est à la fois puérile et ridicule ». Selon elle, il y a 3 façons pour saisir la Cpi.
« Il faut que ça soit un Etat partie, il faut que ça soit le Conseil de sécurité des Nations–Unies, il faut que ça soit le procureur. Où va-t-il saisir la Cpi sans saisir le procureur ? », martèle-t-elle.
Elle est convaincue que le procureur doit vérifier la complémentarité de l’action judiciaire. « C’est-à-dire la Cpi ne peut pas se prononcer tant qu’il y a une justice internationale qui suit son cours pour les mêmes faits et c’est le cas au Sénégal », a-t-elle ajouté.