Pèdre Ndiaye, militant des droits des enfants, n’a pas mis de gants pour déplorer les multiples agressions physiques, sexuelles, les maltraitances et meurtres, entre autres, dont les enfants en sont régulièrement les victimes. Depuis 2013, relève-t-il, le Sénégal dispose d’une Stratégie nationale de protection des enfants, dont le but est de mettre un dispositif et des mécanismes de protection des enfants.
Malheureusement, regrette-t-il, il a été constaté que la situation des enfants est en train de se dégrader. Et, des meurtres, des viols, des enfants violentés, des harcèlements prennent beaucoup plus de place dans le pays. “On a assassiné aujourd’hui, un enfant de moins de 7 ans. Aujourd’hui, il faut se poser la question sur l’utilité et la nécessité de cette stratégie, dont ses trois piliers sont la protection de l’enfant, la prise en charge et la promotion des droits des enfants. 40% de ces piliers ne sont pas exécutés”, a-t-il rouspété.
Ainsi, Pèdre Ndiaye, intervenant sur les ondes de la Rfm, impute la faute à l’Etat, qui alloue un budget très limité à la politique de l’enfance. Il estime qu’au Sénégal, la priorité n’est pas accordée à l’enfant.
Evoquant la responsabilité parentale, il constate que la famille, devant jouer un rôle dans l’éducation des enfants, n’a plus plus le temps de s’occuper d’eux. Les enfants laissés à eux-mêmes, passent beaucoup plus de temps sur les réseaux sociaux, les séries de télévisées, etc. “Le document de la stratégie, évalué, n’a pas donné des performances dans sa mise en pratique”, retient-il.
Pèdre Ndiaye est d’avis que le sujet des enfants est souvent traité de manière émotionnelle. Conscient de l’impact de la tension politique actuelle, il indique que le moment n’est pas propice à la déstabilisation du pays. Puisque les enfants sont présentement, en train de préparer des examens. Donc, les politiques, recommande-t-il, doivent éviter de préserver la quiétude et la stabilité du pays.
Malheureusement, regrette-t-il, il a été constaté que la situation des enfants est en train de se dégrader. Et, des meurtres, des viols, des enfants violentés, des harcèlements prennent beaucoup plus de place dans le pays. “On a assassiné aujourd’hui, un enfant de moins de 7 ans. Aujourd’hui, il faut se poser la question sur l’utilité et la nécessité de cette stratégie, dont ses trois piliers sont la protection de l’enfant, la prise en charge et la promotion des droits des enfants. 40% de ces piliers ne sont pas exécutés”, a-t-il rouspété.
Ainsi, Pèdre Ndiaye, intervenant sur les ondes de la Rfm, impute la faute à l’Etat, qui alloue un budget très limité à la politique de l’enfance. Il estime qu’au Sénégal, la priorité n’est pas accordée à l’enfant.
Evoquant la responsabilité parentale, il constate que la famille, devant jouer un rôle dans l’éducation des enfants, n’a plus plus le temps de s’occuper d’eux. Les enfants laissés à eux-mêmes, passent beaucoup plus de temps sur les réseaux sociaux, les séries de télévisées, etc. “Le document de la stratégie, évalué, n’a pas donné des performances dans sa mise en pratique”, retient-il.
Pèdre Ndiaye est d’avis que le sujet des enfants est souvent traité de manière émotionnelle. Conscient de l’impact de la tension politique actuelle, il indique que le moment n’est pas propice à la déstabilisation du pays. Puisque les enfants sont présentement, en train de préparer des examens. Donc, les politiques, recommande-t-il, doivent éviter de préserver la quiétude et la stabilité du pays.