Qualifié d'historique, le plan d'action finalisé hier entre le Comité des Pêches du Centre Ouest du Golfe de Guinée (CPCO) et la Commission sous régionale des Pêches (CSRP), a pris une année de réflexions et de concertations. Il permettra de mettre en œuvre l'accord de coopération et de partenariat signé en 2022, par les deux organisations avec la CEDEAO, afin de s'associer et de renforcer leur collaboration.
D'aprés "L'As", le plan d'action biennal (2023- 2024), élaboré conjointement par le CPCO et la CSRP, sera soumis à la CEDEAO pour financement cette année. Les deux organisations veulent assurer une gestion durable des ressources halieutiques dans la sous-région, notamment dans les 13 pays côtiers de l'Afrique de l'Ouest, qui représentent une population estimée à 350 millions d'habitants.
"Le CPCO qui regroupe le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Liberia, le Nigeria et le Togo, et dont le siège est au Ghana, et la CSRP qui regroupe le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, le Sénégal et la Sierra Leone, et dont le siège est au Sénégal, travaillent en étroite collaboration pour répondre aux demandes de leurs populations dans le domaine de la pêche.
Bien que les taux de chômage soient élevés, la pêche joue un rôle fondamental dans l'économie, la vie sociale et la sécurité alimentaire des communautés des États membres du CPCO et de la CSRP, en contribuant de manière significative au PIB et en générant de nombreux emplois directs et indirects.
Ces dernières années, face à la diminution observée des ressources halieutiques et à l'ampleur croissante des activités de pêche illégale, les deux organisations sous régionales se sont résolument engagées à améliorer la conservation et l'exploitation des ressources halieutiques, en mettant l'accent sur les aspects économiques, sociaux et environnementaux", a-t-on annoncé hier dans un communiqué conjoint.
Dans leur plan, le CPCO et la CSRP ont identifié des actions prioritaires. Il s'agit de la consolidation et l'extension des acquis de la coopération sous régionale en matière de lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) et de sécurité maritime, l'appui à la gestion concertée des stocks partagés, l'amélioration des conditions d'exercice de la pêche artisanale, le renforcement des moyens de subsistance durables des communautés de pêcheurs et la promotion du développement de l'aquaculture.
Par ailleurs, les deux organisations s'engagent, à travers le plan de travail, à promouvoir la cohérence des politiques nationales de pêche et leur intégration au niveau sous-régional, la transparence et l'établissement de politiques coordonnées et harmonisées, réglementant l'accès aux ressources halieutiques.
D'aprés "L'As", le plan d'action biennal (2023- 2024), élaboré conjointement par le CPCO et la CSRP, sera soumis à la CEDEAO pour financement cette année. Les deux organisations veulent assurer une gestion durable des ressources halieutiques dans la sous-région, notamment dans les 13 pays côtiers de l'Afrique de l'Ouest, qui représentent une population estimée à 350 millions d'habitants.
"Le CPCO qui regroupe le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Liberia, le Nigeria et le Togo, et dont le siège est au Ghana, et la CSRP qui regroupe le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, le Sénégal et la Sierra Leone, et dont le siège est au Sénégal, travaillent en étroite collaboration pour répondre aux demandes de leurs populations dans le domaine de la pêche.
Bien que les taux de chômage soient élevés, la pêche joue un rôle fondamental dans l'économie, la vie sociale et la sécurité alimentaire des communautés des États membres du CPCO et de la CSRP, en contribuant de manière significative au PIB et en générant de nombreux emplois directs et indirects.
Ces dernières années, face à la diminution observée des ressources halieutiques et à l'ampleur croissante des activités de pêche illégale, les deux organisations sous régionales se sont résolument engagées à améliorer la conservation et l'exploitation des ressources halieutiques, en mettant l'accent sur les aspects économiques, sociaux et environnementaux", a-t-on annoncé hier dans un communiqué conjoint.
Dans leur plan, le CPCO et la CSRP ont identifié des actions prioritaires. Il s'agit de la consolidation et l'extension des acquis de la coopération sous régionale en matière de lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN) et de sécurité maritime, l'appui à la gestion concertée des stocks partagés, l'amélioration des conditions d'exercice de la pêche artisanale, le renforcement des moyens de subsistance durables des communautés de pêcheurs et la promotion du développement de l'aquaculture.
Par ailleurs, les deux organisations s'engagent, à travers le plan de travail, à promouvoir la cohérence des politiques nationales de pêche et leur intégration au niveau sous-régional, la transparence et l'établissement de politiques coordonnées et harmonisées, réglementant l'accès aux ressources halieutiques.