«Les débats étaient agités pendant la campagne et bien avant, depuis l’annonce de la tenue d’un référendum par le Président de la République. D’aucuns étaient même allés jusqu’à demander la démission de ce dernier si, à l’issue du référendum, le «NON» l’emportait sur le «OUI». Il s’agit des leaders de l’opposition qui sont obnubilés par la prise du pouvoir. Mais ils doivent comprendre que ceci ne serait possible qu’avec les urnes».
Cette contre-offensive sur Moussa Sy sort de la bouche de Raymond Kaly, responsable des jeunes «apéristes» au niveau local. Pour lui, la mouvance du pouvoir a réussi à battre le Front du «NON» aux Parcelles Assainies le 20 mars dernier.
«Le référendum a permis à la population de démontrer que le maire actuel n’est plus leur homme. Moussa Sy a été vomis par la population des Parcelles et nous réclamons, ici, sa démission. Il nous a insultés en soutenant que nous avons reçu de l’argent du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, c’est ce qui a motivé nos votes», crache-t-il dans les colonnes de «Libération».
Aux yeux du concerné, cette rencontre se résume en remerciements à l’endroit de la population parce que, tout simplement, c’était une bataille rude mais l’adversaire est aujourd’hui battu à plate couture. «Parcelles Assainies est un terrain difficile et il fallait être à la hauteur et tout le monde a travaillé dans son domaine pour former le bloc qui a aujourd’hui réussi ces résultats réjouissants. C’est la détermination, l’unité, la discipline : l’ensemble de ces vertus qui sont les meilleurs armes de la victoire qui a armé la mouvance présidentielle dans ce fief», a jubilé Amadou Bâ.
En effet, le responsable local de l’Alliance Pour la République affirme avoir refusé la violence et avec lui, dit-il, les jeunes n’ont pas cédé à la tentation même s’ils avaient les moyens de la riposte. «Un fondateur ne sème pas la panique dans son fief. Nous n’en sommes pas aux moments de renouvellement. Seulement, il nous faut cultiver les valeurs. C’est primordial pour l’émergence que nous incarnons», a disserté l’argentier de l’Etat.
Sur la même lancée, il se veut catégorique quant à la tentative de corruption. «C’est ne pas connaitre sa population que de penser que ces derniers ont été achetés par de pauvres billets de banque. Ma politique est basée sur la confiance, le respect d’autrui et la clarté sur toutes les décisions à prendre mais pas sur l’argent».
Versant dans les promesses, il dira que le financement des femmes de la localité sera bientôt disponible. Ce qui sera confirmé par le ministre de tutelle, Moustapha Diop, qui a rejoint son homologue pendant la rencontre. Il y a aussi le problème de l’emploi des jeunes qui va être résolu par des décisions personnelles dans le cadre de l’entrepreneuriat. «Je n’ai pas l’habitude de promettre, mais nous allons instaurer des ambassadeurs de l’émergence pour mieux suivre ce qui va et ce qui ne va pas dans la localité», a encore dit Amadou Bâ.
PressAfik.com
Cette contre-offensive sur Moussa Sy sort de la bouche de Raymond Kaly, responsable des jeunes «apéristes» au niveau local. Pour lui, la mouvance du pouvoir a réussi à battre le Front du «NON» aux Parcelles Assainies le 20 mars dernier.
«Le référendum a permis à la population de démontrer que le maire actuel n’est plus leur homme. Moussa Sy a été vomis par la population des Parcelles et nous réclamons, ici, sa démission. Il nous a insultés en soutenant que nous avons reçu de l’argent du ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, c’est ce qui a motivé nos votes», crache-t-il dans les colonnes de «Libération».
Aux yeux du concerné, cette rencontre se résume en remerciements à l’endroit de la population parce que, tout simplement, c’était une bataille rude mais l’adversaire est aujourd’hui battu à plate couture. «Parcelles Assainies est un terrain difficile et il fallait être à la hauteur et tout le monde a travaillé dans son domaine pour former le bloc qui a aujourd’hui réussi ces résultats réjouissants. C’est la détermination, l’unité, la discipline : l’ensemble de ces vertus qui sont les meilleurs armes de la victoire qui a armé la mouvance présidentielle dans ce fief», a jubilé Amadou Bâ.
En effet, le responsable local de l’Alliance Pour la République affirme avoir refusé la violence et avec lui, dit-il, les jeunes n’ont pas cédé à la tentation même s’ils avaient les moyens de la riposte. «Un fondateur ne sème pas la panique dans son fief. Nous n’en sommes pas aux moments de renouvellement. Seulement, il nous faut cultiver les valeurs. C’est primordial pour l’émergence que nous incarnons», a disserté l’argentier de l’Etat.
Sur la même lancée, il se veut catégorique quant à la tentative de corruption. «C’est ne pas connaitre sa population que de penser que ces derniers ont été achetés par de pauvres billets de banque. Ma politique est basée sur la confiance, le respect d’autrui et la clarté sur toutes les décisions à prendre mais pas sur l’argent».
Versant dans les promesses, il dira que le financement des femmes de la localité sera bientôt disponible. Ce qui sera confirmé par le ministre de tutelle, Moustapha Diop, qui a rejoint son homologue pendant la rencontre. Il y a aussi le problème de l’emploi des jeunes qui va être résolu par des décisions personnelles dans le cadre de l’entrepreneuriat. «Je n’ai pas l’habitude de promettre, mais nous allons instaurer des ambassadeurs de l’émergence pour mieux suivre ce qui va et ce qui ne va pas dans la localité», a encore dit Amadou Bâ.
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