Consciente de la nécessité d'engager la réflexion sur les voies et moyens pour la préservation de notre modèle démocratique et l'exception sénégalaise. Engagée pour la promotion du dialogue dans un contexte de remous et de tensions d’une gravité exceptionnelle qui menace la paix et la stabilité que suscite le jeu de pouvoir ;
Considérant que notre pays, grâce à la maturité de sa classe politique, a su, par le passé, dépasser les clivages, les suspicions et les contestations pour préserver l'essentiel : notre commun vouloir de vie commune, dans le respect des valeurs fondamentales de République et de l'esprit de tolérance et de cohésion nationale.
Considérant que la compétition électorale n'est pas une fin en soi, elle devrait s'aligner sur la définition de règles consensuelles garantissant des élections libres, transparentes, inclusives et crédibles. Une telle posture que le Sénégal a maintes fois affichée à la face du monde, doit être consolidée.
Au terme des travaux, la Synergie des Organisations de la société civile pour la Paix (SOS/Paix) a abouti aux recommandations suivantes :
• Sur le format et la méthodologie du dialogue politique, il a été retenu de mettre en place une commission cellulaire dotée de pouvoirs et présidée par une personnalité désignée de manière consensuelle par les différentes parties prenantes, de définir un mode de prise de décision et d’arbitrage et de procéder à l’évaluation du niveau de mise en œuvre des points d’accord actés par la Commission du Dialogue politique instituée en 2019.
• Sur les points à inscrire à l’agenda du dialogue politique, l’atelier propose d’intégrer la réforme du Conseil constitutionnel, la création d’un organe d’Observation de la Démocratie, le rôle et la place de la société civile dans le processus électoral ainsi que la création d’un Cadre permanent de Concertation politique (CPCP).
• Sur les points prioritaires, il a été répertorier et hiérarchisé neuf (09) questions, notamment celles relatives aux conditions de participation à l’élection présidentielle de 2024.
Considérant que notre pays, grâce à la maturité de sa classe politique, a su, par le passé, dépasser les clivages, les suspicions et les contestations pour préserver l'essentiel : notre commun vouloir de vie commune, dans le respect des valeurs fondamentales de République et de l'esprit de tolérance et de cohésion nationale.
Considérant que la compétition électorale n'est pas une fin en soi, elle devrait s'aligner sur la définition de règles consensuelles garantissant des élections libres, transparentes, inclusives et crédibles. Une telle posture que le Sénégal a maintes fois affichée à la face du monde, doit être consolidée.
Au terme des travaux, la Synergie des Organisations de la société civile pour la Paix (SOS/Paix) a abouti aux recommandations suivantes :
• Sur le format et la méthodologie du dialogue politique, il a été retenu de mettre en place une commission cellulaire dotée de pouvoirs et présidée par une personnalité désignée de manière consensuelle par les différentes parties prenantes, de définir un mode de prise de décision et d’arbitrage et de procéder à l’évaluation du niveau de mise en œuvre des points d’accord actés par la Commission du Dialogue politique instituée en 2019.
• Sur les points à inscrire à l’agenda du dialogue politique, l’atelier propose d’intégrer la réforme du Conseil constitutionnel, la création d’un organe d’Observation de la Démocratie, le rôle et la place de la société civile dans le processus électoral ainsi que la création d’un Cadre permanent de Concertation politique (CPCP).
• Sur les points prioritaires, il a été répertorier et hiérarchisé neuf (09) questions, notamment celles relatives aux conditions de participation à l’élection présidentielle de 2024.