« Pour que vous ne tombiez pas dans le piège, retenez qu’il y aura deux choses. Soit, il viendra vous dire qu’il est candidat. Ce qui relèverait de leur deal au sein du dialogue. Cependant, il y a de fortes probabilités qu’il renonce à sa candidature. Parce que tout simplement, il est suivi et acculé par la pression de la Communauté internationale », a déduit le leader du Pastef.
Qui s’en est pris à Khalifa Sall et Cie, sans les nommer, qui sont de la « classe politique traditionnelle », qu’il qualifie de « dealer » approuvant le 3e mandat au sein du dialogue. « Leur objectif était juste de m’écarter. Parce qu’en plus de Macky Sall, eux-mêmes savent qu’ils n’ont aucune chance face à moi, à la Présidentielle», a avancé Ousmane Sonko.
Après la décision de justice le condamnant, Ousmane Sonko a 10 jours. Soit il se constitue prisonnier, soit il sera cueilli et mis en prison, selon le ministre de la Justice. Mais le leader de Pastef se veut clair : « Personne ne peut m’arrêter. S’ils le font, ce serait sur une base illégale. Je ne ferais pas une journée entre leurs mains. Et s’ils m’arrêtent cette fois-ci, ce sera la fin ».
Qui s’en est pris à Khalifa Sall et Cie, sans les nommer, qui sont de la « classe politique traditionnelle », qu’il qualifie de « dealer » approuvant le 3e mandat au sein du dialogue. « Leur objectif était juste de m’écarter. Parce qu’en plus de Macky Sall, eux-mêmes savent qu’ils n’ont aucune chance face à moi, à la Présidentielle», a avancé Ousmane Sonko.
Après la décision de justice le condamnant, Ousmane Sonko a 10 jours. Soit il se constitue prisonnier, soit il sera cueilli et mis en prison, selon le ministre de la Justice. Mais le leader de Pastef se veut clair : « Personne ne peut m’arrêter. S’ils le font, ce serait sur une base illégale. Je ne ferais pas une journée entre leurs mains. Et s’ils m’arrêtent cette fois-ci, ce sera la fin ».