L’ancien coordonnateur du M23 dit avoir honte du niveau bas dans lequel est tombée la démocratie sénégalaise avec la criminalisation de l’opposition démocratique. Il est temps, à ses yeux, d’arrêter l’escalade de la violence et le harcèlement judiciaire sur cette question du Prodac qui a été traitée sous toutes les coutures et qui fait partie du débat démocratique sur la gouvernance et n’a pas à être criminalisé. C’est du dévoiement, dit-il.
A l’en croire, ce dont le Sénégal a besoin en abordant la Présidentielle, c’est la sérénité propice au débat démocratique, au débat d’idées et à un échange sur les programmes.
Les ruses et stratagèmes politiques destinés à exclure les adversaires politiques sont une menace pour la paix et la stabilité, prévient-il.
M. Tine invite de la façon la plus solennelle toute la classe politique que l’Afrique et le monde regardent à œuvrer maintenant pour que cesse l’escalade de la violence qui menace le pays et la région. Selon lui, les africains ont peur que le Sénégal ne s’effondre, c’est le seul pays qui tient.
Restons avec les organisations de la société civile pour dire que le Forum civil et le mouvement Y en a marre condamnent également la «brutalité extrême » opérée sur Ousmane Sonko et sur son avocat Me Clédor Ciré Ly. Selon le coordonnateur national du Forum Civil, Birahime Seck, ces pratiques sontindignes dans une démocratie qui se veut un modèle en Afrique. Le coordinateur de Y en a marre estime que ce qui s’est passé hier doit interpeller tous les démocrates de ce pays.
Il est inadmissible, aux yeux d’Aliou Sané, qu'un leader de l'opposition et ses militants soient privés de leur liberté de circulation et violentés de la sorte. Comme si cela ne suffisait pas, dénonce-t-il, Ousmane Sonko est empêché de se rendre librement au siège de son parti pour tenir une conférence de presse. Le mouvement Y en a marre condamne ces procédés anti démocratiques et exige la cessation sans délai de cette utilisation de la puissance publique contre les citoyens.
"L'As"
A l’en croire, ce dont le Sénégal a besoin en abordant la Présidentielle, c’est la sérénité propice au débat démocratique, au débat d’idées et à un échange sur les programmes.
Les ruses et stratagèmes politiques destinés à exclure les adversaires politiques sont une menace pour la paix et la stabilité, prévient-il.
M. Tine invite de la façon la plus solennelle toute la classe politique que l’Afrique et le monde regardent à œuvrer maintenant pour que cesse l’escalade de la violence qui menace le pays et la région. Selon lui, les africains ont peur que le Sénégal ne s’effondre, c’est le seul pays qui tient.
Restons avec les organisations de la société civile pour dire que le Forum civil et le mouvement Y en a marre condamnent également la «brutalité extrême » opérée sur Ousmane Sonko et sur son avocat Me Clédor Ciré Ly. Selon le coordonnateur national du Forum Civil, Birahime Seck, ces pratiques sontindignes dans une démocratie qui se veut un modèle en Afrique. Le coordinateur de Y en a marre estime que ce qui s’est passé hier doit interpeller tous les démocrates de ce pays.
Il est inadmissible, aux yeux d’Aliou Sané, qu'un leader de l'opposition et ses militants soient privés de leur liberté de circulation et violentés de la sorte. Comme si cela ne suffisait pas, dénonce-t-il, Ousmane Sonko est empêché de se rendre librement au siège de son parti pour tenir une conférence de presse. Le mouvement Y en a marre condamne ces procédés anti démocratiques et exige la cessation sans délai de cette utilisation de la puissance publique contre les citoyens.
"L'As"