«Il faut surtout que ce corps de contrôle s’intéresse vraiment aux affaires qui tiennent en haleine les Sénégalais», assure le leader de Leral Askan Wi. Qui, se confiant au journal «La tribune», se pose un certain nombre de questions : «Où sont les 60 milliards destinés l’électrification rurale, les 17 milliards du Building administratif, la nébuleuse autour du deuxième tronçon de l’autoroute à péage ? Les camions chinois, la gestion coûteuse des inondations, les 80 milliards du Cicad, entre autres dossiers qui suscitent interrogations ?».
Dans la foulée, Omar Faye estime qu’il ne parvient pas à comprendre pourquoi la gestion des entreprises étrangères n’intéresse pas les contrôleurs.
Le leader de Leral Askan wi est d’avis que la Caisse de dépôt et consignation (Cdc), qui a été citée dans le dernier rapport de la Cour des comptes est «mal jugée».
«Je ne suis pas du régime, mais je suis convaincu de la pertinence des choix du directeur de cette structure étatique. Il a eu le courage de collaborer avec l’expertise locale pour sortir de terre des immeubles. Et, ce ont les Sénégalais qui vont en bénéficier», a poursuivi M. Faye qui se définit comme un «citoyen libre guidé par le simple souci de dire non à l’injustice».
«C’est fort de ce statut que je dis aussi qu’il serait gauche de démolir l’Ipres au moment où ses dirigeants tentent de mettre les retraité dans de bonnes conditions».
Dans la foulée, Omar Faye estime qu’il ne parvient pas à comprendre pourquoi la gestion des entreprises étrangères n’intéresse pas les contrôleurs.
Le leader de Leral Askan wi est d’avis que la Caisse de dépôt et consignation (Cdc), qui a été citée dans le dernier rapport de la Cour des comptes est «mal jugée».
«Je ne suis pas du régime, mais je suis convaincu de la pertinence des choix du directeur de cette structure étatique. Il a eu le courage de collaborer avec l’expertise locale pour sortir de terre des immeubles. Et, ce ont les Sénégalais qui vont en bénéficier», a poursuivi M. Faye qui se définit comme un «citoyen libre guidé par le simple souci de dire non à l’injustice».
«C’est fort de ce statut que je dis aussi qu’il serait gauche de démolir l’Ipres au moment où ses dirigeants tentent de mettre les retraité dans de bonnes conditions».