Des habitations, des entreprises, des dépôts, entre autres, longent les couloirs de ligne haute tension électrique qui relie le centre de Hann Bel Air à celui du Cap des Biches. Inconscients du danger qui les guette, les occupants de ces lieux continuent de mener paisiblement leurs activités quotidiennes. Une situation qui a amené la Senelec, avec le soutien des préfets départementaux de Dakar, Pikine, et Rufisque à sensibiliser les populations sur la nécessité de quitter les lieux dans les plus brefs délais permettant également la Senelec de procéder à la réhabilitation de la ligne 225 Kilowatt.
Bathie Kâ, ingénieur d’étude au département équipement des réseaux à la direction de l’équipement et de l’environnement, indique dans Sud Quotidien que ce projet connait un blocage à cause de ces occupations illégales. « Nous avions fait une saisine au gouverneur de Dakar qui a instruit les préfets départementaux de Pikine, Dakar et Rufisque pour la mise en place d’une commission d’enquête de recensement et dévaluation des impasses pour tenir compte de l’aspect social et des mesures d’accompagnement », a-t-il fait savoir.
Outre le caractère dangereux de ces occupations irrégulières sous les couloirs des lignes, il précise que la Senelec est dans l’urgence d’exécuter ces travaux qui connaissent déjà un retard. « Nous comptons sur l’appui des autorités qui n’ont pas manqué de les conscientiser par rapport à leur sécurité en leur demandant de prendre leurs dispositions pour libérer les emprises dans les plus brefs délais. Parce qu’un projet de cette nature fait partie des priorités de la Senelec pour la consolidation des réseaux de transport et de distribution face à la forte demande en énergie des populations », souligne-t-il dans les colonnes du journal. Il renseigne que lorsqu’il a un tracé de ligne quelque part, sur l’axe principal de la ligne, il requiert toujours une distance zone tampon de sécurité de 15 mètres de part et d’autre de l’axe de la ligne. Une chose, dit-il, qu’il faut systématiquement respecter.
Allant dans le même sens, Jean Baptiste Sène, adjoint au préfet de Pikine, a indiqué que les occupants ont été très réceptifs parce qu’étant conscients du danger et de la nécessité de libérer l’emprise. « Nous avons procédé à un recensement de toutes les personnes impactées. Le projet va démarrer dans les prochains jours. Nous allons procéder aux séances de conciliation avec les impactés qui sont environ au nombre de 215 pour discuter sur la question de la compensation », soutient-il. Interpellés, les habitants qui sont implantés sur le site depuis de nombreuses années disent être conscients du danger qui peut naître de cette cohabitation avec les lignes hautes tension de la Senelec. Toutefois, ils réclament, d'après nos confrères, des compensations pour pouvoir trouver un autre endroit plus sécurisant.
Bathie Kâ, ingénieur d’étude au département équipement des réseaux à la direction de l’équipement et de l’environnement, indique dans Sud Quotidien que ce projet connait un blocage à cause de ces occupations illégales. « Nous avions fait une saisine au gouverneur de Dakar qui a instruit les préfets départementaux de Pikine, Dakar et Rufisque pour la mise en place d’une commission d’enquête de recensement et dévaluation des impasses pour tenir compte de l’aspect social et des mesures d’accompagnement », a-t-il fait savoir.
Outre le caractère dangereux de ces occupations irrégulières sous les couloirs des lignes, il précise que la Senelec est dans l’urgence d’exécuter ces travaux qui connaissent déjà un retard. « Nous comptons sur l’appui des autorités qui n’ont pas manqué de les conscientiser par rapport à leur sécurité en leur demandant de prendre leurs dispositions pour libérer les emprises dans les plus brefs délais. Parce qu’un projet de cette nature fait partie des priorités de la Senelec pour la consolidation des réseaux de transport et de distribution face à la forte demande en énergie des populations », souligne-t-il dans les colonnes du journal. Il renseigne que lorsqu’il a un tracé de ligne quelque part, sur l’axe principal de la ligne, il requiert toujours une distance zone tampon de sécurité de 15 mètres de part et d’autre de l’axe de la ligne. Une chose, dit-il, qu’il faut systématiquement respecter.
Allant dans le même sens, Jean Baptiste Sène, adjoint au préfet de Pikine, a indiqué que les occupants ont été très réceptifs parce qu’étant conscients du danger et de la nécessité de libérer l’emprise. « Nous avons procédé à un recensement de toutes les personnes impactées. Le projet va démarrer dans les prochains jours. Nous allons procéder aux séances de conciliation avec les impactés qui sont environ au nombre de 215 pour discuter sur la question de la compensation », soutient-il. Interpellés, les habitants qui sont implantés sur le site depuis de nombreuses années disent être conscients du danger qui peut naître de cette cohabitation avec les lignes hautes tension de la Senelec. Toutefois, ils réclament, d'après nos confrères, des compensations pour pouvoir trouver un autre endroit plus sécurisant.