A en croire Direct info, de sources dignes de foi, des « conditions juridiques » sont déjà avancées dans le cadre de cette négociation. Dans ce qu’il convient d’appeler un « protocole », le Palais parle de 5 ans de condamnation contre l’ancien ministre du « ciel et de la terre », dont deux fermes et trois avec sursis. Le schéma, c’est libérer Wade-fils de prison pour casquer qu’il y a un cul-de-sac dans la traque des biens mal acquis, mais en même temps créer un « obstacle » juridique lui empêchant de se présenter à la présidentielle de 2017. « Et à condition qu’on obtienne de lui qu’il ne se présentera pas à la prochaine présidentielle », souffle une source bien au fait des tractations menées en haut lieu.
En effet, la source rappelle un fait majeur qui a troublé le jeu du pouvoir. C’est quand la presse avait annoncé le déplacement de Moustapha Diakhaté chez Wade. Ce qui demeure constant, c’est que le président du groupe parlementaire de la majorité n’avait pas agi de son propre chef. La Présidence qui ne s’attendait pas à ce que l’affaire soit ébruitée par la presse, a sorti un communiqué pour le désavouer et démentir l’information.
Des personnes à qui ces manœuvres du Palais n’ont pas échappé, confient que tout ceci était fait pour brouiller les cartes. Mais elles soutiennent mordicus qu’il y a négociation. « La Présidence publie des communiqués pour dire qu’il n’y a de négociation, il n’y a rien du tout. C’est archi faux », soutient notre interlocuteur sous couvert de l’anonymat.
En effet, la source rappelle un fait majeur qui a troublé le jeu du pouvoir. C’est quand la presse avait annoncé le déplacement de Moustapha Diakhaté chez Wade. Ce qui demeure constant, c’est que le président du groupe parlementaire de la majorité n’avait pas agi de son propre chef. La Présidence qui ne s’attendait pas à ce que l’affaire soit ébruitée par la presse, a sorti un communiqué pour le désavouer et démentir l’information.
Des personnes à qui ces manœuvres du Palais n’ont pas échappé, confient que tout ceci était fait pour brouiller les cartes. Mais elles soutiennent mordicus qu’il y a négociation. « La Présidence publie des communiqués pour dire qu’il n’y a de négociation, il n’y a rien du tout. C’est archi faux », soutient notre interlocuteur sous couvert de l’anonymat.