A quelques semaines des élections législatives, la tension née des décisions du Conseil constitutionnel monte et il y a risque de violences. En effet, après la manifestation de Yewwi askan wi, qui a eu lieu le mercredi 8 juin dernier, et qui s’est finalement déroulée sans débordement. Même si tous les signaux étaient au rouge, il y a la prochaine manifestation de cette même coalition, prévue ce 17 juin.
Aux dernières élections locales, des voix s’étaient élevées dont celle du Cadre unitaire de l’islam au Sénégal (Cudis), qui était au front et avait fait plusieurs sorties pour la pacification de l’espace politique.
Depuis, l’association est devenue aphone et certains s’interrogent sur son mutisme. Même si son ancien coordonnateur, Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Amine, a parlé hier à l’émission Fii la de iTv.
Le Cudis est devenu moins dynamique et moins audible, et c’est son avenir qui pourrait en prendre un sacré coup. Il faut à ce propos signaler que la Charte de la non-violence, proposée aux acteurs politiques par le Cadre unitaire de l’islam au Sénégal, était mise en œuvre pour les élections locales mais aussi pour législatives prévues le 31 juillet 2022.
Une charte signée par nombre de partis et d’acteurs politiques, même si les responsables de Yaw n’en ont pas voulu. L’objectif est de promouvoir une démarche pérenne pour l’instauration d’une paix définitive dans l’espace politique.
Pour rappel, le Cudis est composé d’intellectuels arabophones et francophones, issus des confréries Mouridiyya, Tijaniyya, Khadriyya, Layènes, de la famille Omarienne, des Niassènes, et d’associations islamiques. Il intervient pour parer à toute menace sur la concorde nationale et son intervention durant les évènements violents de mars, a été une étape importante dans l’apaisement de l’espace politique et dans la régulation sociale.
Bes Bi
Aux dernières élections locales, des voix s’étaient élevées dont celle du Cadre unitaire de l’islam au Sénégal (Cudis), qui était au front et avait fait plusieurs sorties pour la pacification de l’espace politique.
Depuis, l’association est devenue aphone et certains s’interrogent sur son mutisme. Même si son ancien coordonnateur, Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Amine, a parlé hier à l’émission Fii la de iTv.
Le Cudis est devenu moins dynamique et moins audible, et c’est son avenir qui pourrait en prendre un sacré coup. Il faut à ce propos signaler que la Charte de la non-violence, proposée aux acteurs politiques par le Cadre unitaire de l’islam au Sénégal, était mise en œuvre pour les élections locales mais aussi pour législatives prévues le 31 juillet 2022.
Une charte signée par nombre de partis et d’acteurs politiques, même si les responsables de Yaw n’en ont pas voulu. L’objectif est de promouvoir une démarche pérenne pour l’instauration d’une paix définitive dans l’espace politique.
Pour rappel, le Cudis est composé d’intellectuels arabophones et francophones, issus des confréries Mouridiyya, Tijaniyya, Khadriyya, Layènes, de la famille Omarienne, des Niassènes, et d’associations islamiques. Il intervient pour parer à toute menace sur la concorde nationale et son intervention durant les évènements violents de mars, a été une étape importante dans l’apaisement de l’espace politique et dans la régulation sociale.
Bes Bi