Le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie numérique, Moussa Bocar Thiam, a présidé hier la Conférence des Régulateurs postaux Africains (upap). A cette occasion, il a mis l’accent sur la nécessité de mettre en œuvre des réformes structurées pour adapter l’activité postale au contexte actuel numérique, avant de déplorer une certaine «agression» à laquelle le secteur fait face, renseigne "L'As".
«La régulation à l’ère du numérique au service d’un secteur postal durable» ; c’est autour de ce thème que se déroule la Conférence des régulateurs Postaux africains (Upap), qui regroupe 35 pays africains. A cette occasion, le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Moussa Bocar Thiam, a fait un plaidoyer pour l’adaptation du secteur postal au numérique. A l’en croire, le secteur postal est bouleversé depuis quelques années, par les mutations technologiques et par les nouvelles habitudes de consommation de grande masse.
«Il s’agit donc, aujourd’hui, de mettre en œuvre des réformes structurées pour s’adapter au nouveau contexte (numérique) et pour réinventer, voire discuter l’activité postale», souligne-t-il.
La Poste subit des agressions de la part des acteurs du commerce électronique
Pour Moussa Bocar Thiam, «l’introduction du numérique a favorisé une diversification des produits, des services et des innovations dans l’offre, qui relègue certains services postaux et certains produits, à l’obsolescence, mais ce bouleversement technologique ouvre plutôt des nouvelles perspectives».
Avec l’ère du numérique, il estime que La Poste subit des agressions de toutes parts. «Le domaine postal est agressé de toutes parts. A l’époque, on avait des activités classiques qui tournaient autour de la livraison de colis et de la distribution de lettres. Depuis quelques années, cette activité est obsolète. Chaque jour, de nouvelles technologies apparaissent avec des nouveaux concurrents investissant le marché de La Poste et armés de nouveaux modèles commerciaux pouvant mettre en péril le cœur des métiers de cette dernière. Aujourd’hui, il y a des acteurs qui sont très en pointe, notamment en ce qui concerne le commerce électronique, la livraison de colis et de marchandises partout dans le pays. Ce qui constitue manifestement une concurrence pour La Poste, qui a quand même une licence», a-t-il indiqué.
C’est pour cela, dit-il, que la question des licences dans le domaine de la livraison, doit être mieux réglementée, pour permettre à La Poste de conserver sa part de marché.
«La régulation à l’ère du numérique au service d’un secteur postal durable» ; c’est autour de ce thème que se déroule la Conférence des régulateurs Postaux africains (Upap), qui regroupe 35 pays africains. A cette occasion, le ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Moussa Bocar Thiam, a fait un plaidoyer pour l’adaptation du secteur postal au numérique. A l’en croire, le secteur postal est bouleversé depuis quelques années, par les mutations technologiques et par les nouvelles habitudes de consommation de grande masse.
«Il s’agit donc, aujourd’hui, de mettre en œuvre des réformes structurées pour s’adapter au nouveau contexte (numérique) et pour réinventer, voire discuter l’activité postale», souligne-t-il.
La Poste subit des agressions de la part des acteurs du commerce électronique
Pour Moussa Bocar Thiam, «l’introduction du numérique a favorisé une diversification des produits, des services et des innovations dans l’offre, qui relègue certains services postaux et certains produits, à l’obsolescence, mais ce bouleversement technologique ouvre plutôt des nouvelles perspectives».
Avec l’ère du numérique, il estime que La Poste subit des agressions de toutes parts. «Le domaine postal est agressé de toutes parts. A l’époque, on avait des activités classiques qui tournaient autour de la livraison de colis et de la distribution de lettres. Depuis quelques années, cette activité est obsolète. Chaque jour, de nouvelles technologies apparaissent avec des nouveaux concurrents investissant le marché de La Poste et armés de nouveaux modèles commerciaux pouvant mettre en péril le cœur des métiers de cette dernière. Aujourd’hui, il y a des acteurs qui sont très en pointe, notamment en ce qui concerne le commerce électronique, la livraison de colis et de marchandises partout dans le pays. Ce qui constitue manifestement une concurrence pour La Poste, qui a quand même une licence», a-t-il indiqué.
C’est pour cela, dit-il, que la question des licences dans le domaine de la livraison, doit être mieux réglementée, pour permettre à La Poste de conserver sa part de marché.