Pas plus que deux jours pour que le cas des deux "K" soit examiné à l'hémicycle. À la demande de 123 députés, l’Assemblée nationale s'est réunie. Dès l'ouverture de la séance, 113 députés ont répondu présent à l'appel nominatif. Le quorum (83 députés) étant requis, le président de l’Assemblée nationale a procédé à l'ouverture de la deuxième session extraordinaire. Ainsi, la conférence des leaders va se réunir, aujourd'hui, à l'Assemblée nationale à l'effet d'examiner, en commission technique, le texte de loi portant modification du code électoral. Ce projet de loi issu des conclusions du dialogue national va permettre à Khalifa Sall, Karim Wade et autres individus frappés d'inéligibilité de pouvoir recouvrer leurs droits.
Par la suite, les députés vont se réunir aujourd'hui, en procédure d'urgence, pour examiner le texte de loi en séance plénière. Le texte va être défendu par le ministre de l'Intérieur, Antoine Diome. Si ce texte de loi soutenu par les députés de Taxawu Senegaal, deWàllu et de Benno Bokk Yaakaar passe, Khalifa Sall et Karim Wade vont pouvoir réintégrer le jeu politique. Il s'agit donc du parachèvement des conclusions du dialogue national. "Le dialogue national a absolument porté ses fruits. L'Assemblée nationale était composée de trois (3) groupes parlementaires et aujourd’hui, la quasi-totalité des députés sont d’accord pour examiner ce projet de loi. Cela veut dire qu'aujourd'hui, c’est une minorité qui veut s’agripper sur des choses qui n’existent pas. Le dialogue a porté ses fruits et c’est pourquoi aujourd’hui, nous sommes là", s'est félicité le président de la Commission des Lois, Abdou Mbow, par ailleurs membre de la mouvance présidentielle., rapporte L'As
Par la suite, les députés vont se réunir aujourd'hui, en procédure d'urgence, pour examiner le texte de loi en séance plénière. Le texte va être défendu par le ministre de l'Intérieur, Antoine Diome. Si ce texte de loi soutenu par les députés de Taxawu Senegaal, deWàllu et de Benno Bokk Yaakaar passe, Khalifa Sall et Karim Wade vont pouvoir réintégrer le jeu politique. Il s'agit donc du parachèvement des conclusions du dialogue national. "Le dialogue national a absolument porté ses fruits. L'Assemblée nationale était composée de trois (3) groupes parlementaires et aujourd’hui, la quasi-totalité des députés sont d’accord pour examiner ce projet de loi. Cela veut dire qu'aujourd'hui, c’est une minorité qui veut s’agripper sur des choses qui n’existent pas. Le dialogue a porté ses fruits et c’est pourquoi aujourd’hui, nous sommes là", s'est félicité le président de la Commission des Lois, Abdou Mbow, par ailleurs membre de la mouvance présidentielle., rapporte L'As