Selon le rapport de mission des émissaires de la Cedeao » qui l’ont rencontré, «IBK », alors entre les mains des militaires, avait fait six observations après avoir précisé qu’il était bien traité.
1- Il a indiqué que sa préoccupation principale est la paix, la stabilité et la réconciliation du Mali. Il souhaite donc créer les conditions pour une véritable stabilisation du Mali.
2- Il a donc confirmé qu’il maintenait la déclaration faite relative à sa démission en toute liberté et en son âme et conscience car il demeure convaincu que cette décision est nécessaire pour la paix et la réconciliation du Mali.
3- Il a souhaité que le pays s’engage dans une transition politique afin de normaliser rapidement la situation pour que le Mali retrouve sa place dans le concert des Nations.
4- Il a indiqué que cette normalisation permettrait de faire face aux défis que le Mali connaît qui sont : le terrorisme, la Covid-19 et le développement économique et social.
5- Cette nouvelle direction est celle que le Mali doit prendre actuellement et il souhaite que la Cedeao puisse accompagner le processus.
6- Il a émis le souhait d’effectuer son contrôle médical hors du pays à la suite d’une opération chirurgicale dont le délai est déjà dépassé.
Il faut souligner, selon le rapport obtenu par Libération online, qu’à la fin de la mission, la délégation de la Cedeao a souhaité revoir une deuxième fois «IBK » pour lui permettre de faire une déclaration en présence du médiateur. «IBK » a demandé au médiateur de confirmer au sommet de la Cedeao qu’il a fait librement sa déclaration.
A noter que la Cedeao vient de préciser qu'elle est prête à consentir une transition qui va durer un an, les militaires avaient suggéré deux ans, d'après le rapport de mission.
Libération one line
1- Il a indiqué que sa préoccupation principale est la paix, la stabilité et la réconciliation du Mali. Il souhaite donc créer les conditions pour une véritable stabilisation du Mali.
2- Il a donc confirmé qu’il maintenait la déclaration faite relative à sa démission en toute liberté et en son âme et conscience car il demeure convaincu que cette décision est nécessaire pour la paix et la réconciliation du Mali.
3- Il a souhaité que le pays s’engage dans une transition politique afin de normaliser rapidement la situation pour que le Mali retrouve sa place dans le concert des Nations.
4- Il a indiqué que cette normalisation permettrait de faire face aux défis que le Mali connaît qui sont : le terrorisme, la Covid-19 et le développement économique et social.
5- Cette nouvelle direction est celle que le Mali doit prendre actuellement et il souhaite que la Cedeao puisse accompagner le processus.
6- Il a émis le souhait d’effectuer son contrôle médical hors du pays à la suite d’une opération chirurgicale dont le délai est déjà dépassé.
Il faut souligner, selon le rapport obtenu par Libération online, qu’à la fin de la mission, la délégation de la Cedeao a souhaité revoir une deuxième fois «IBK » pour lui permettre de faire une déclaration en présence du médiateur. «IBK » a demandé au médiateur de confirmer au sommet de la Cedeao qu’il a fait librement sa déclaration.
A noter que la Cedeao vient de préciser qu'elle est prête à consentir une transition qui va durer un an, les militaires avaient suggéré deux ans, d'après le rapport de mission.
Libération one line