Monseigneur Benjamin Ndiaye est-il sur la même longueur d'onde que Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine le nouveau Khalife général des Tidianes en ce qui concerne la stabilité socio-politique du pays?
Au lendemain du rappel à Dieu de Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Makhtoum, Al Amine avait en effet invité la classe politique sénégalaise à taire les divergences et à aplanir les contradictions pour un climat social apaisé.
A Tivaouane hier, pour présenter les condoléances de l'église catholique, l'Archevêque de Dakar a embouché la même trompette. En effet Monseigneur Benjamin Ndiaye n'a pas caché sa crainte de voir le pays plonger dans un "recul démocratique". Il a soutenu, " j'ai peur que les développements actuels traduisent un recul démocratique pour notre pays", au sortir de son entretien avec le Khalife de Tivaouane.
A l'en croire, force doit rester au peuple, mais surtout que les élections se passent dans la paix et la stabilité. " Le plus important, c'est d'éviter des règlements de comptes parce que ce n'est pas une épreuve de force. Que l'on respecte les lois démocratiques pour que nous puissions aller aux élections à la loyale et laisser le peuple qui est souverain, décider de qui il veut investir. Si nous respectons cette volonté démocratique, je crois que nous pourrons nous donner les moyens de vivre en paix", a souligné l'Archevêque.
source: la tribune
Au lendemain du rappel à Dieu de Serigne Cheikh Ahmed Tidiane Sy Al Makhtoum, Al Amine avait en effet invité la classe politique sénégalaise à taire les divergences et à aplanir les contradictions pour un climat social apaisé.
A Tivaouane hier, pour présenter les condoléances de l'église catholique, l'Archevêque de Dakar a embouché la même trompette. En effet Monseigneur Benjamin Ndiaye n'a pas caché sa crainte de voir le pays plonger dans un "recul démocratique". Il a soutenu, " j'ai peur que les développements actuels traduisent un recul démocratique pour notre pays", au sortir de son entretien avec le Khalife de Tivaouane.
A l'en croire, force doit rester au peuple, mais surtout que les élections se passent dans la paix et la stabilité. " Le plus important, c'est d'éviter des règlements de comptes parce que ce n'est pas une épreuve de force. Que l'on respecte les lois démocratiques pour que nous puissions aller aux élections à la loyale et laisser le peuple qui est souverain, décider de qui il veut investir. Si nous respectons cette volonté démocratique, je crois que nous pourrons nous donner les moyens de vivre en paix", a souligné l'Archevêque.
source: la tribune