Les enseignants sont toujours dans une logique de boycotter les examens de fin d’année. Mamadou Lamine Dianté, coordonnateur du Grand cadre, joint par EnQuête, le réaffirme, après la sortie d’Abdou Faty, secrétaire général de l’autre Grand cadre. Mamadou Lamine Dianté souligne que « le mot d’ordre est très clair » au niveau de la base. « Nous ne pouvons pas payer doublement le prix d’une grève », dit-il. Si les salaires des enseignants ne sont pas restitués et certains points satisfaits, il assure que les examens ne vont pas se dérouler « comme il se doit ». « Si l’année scolaire doit s’arrêter le 31 juillet, quel que soit l’état d’avancement des jurys d’examen, nous nous arrêterons à cette date. Nous allons demander tous les enseignants, à partir de 18 h, de rendre les documents au président du jury et de retourner chez eux », dit-il. Car, selon ses dires, au-delà du 31 juillet, l’Etat ne paie pas les déplacements des enseignants.
Ainsi, malgré les dissensions notées au sein de leur regroupement de syndicats, il affirme que tous les enseignants parlent le même langage et souhaitent travailler dans l’unité. D’ailleurs, il salue la prise de conscience de l’autre Grand cadre dirigé par Abdou Faty. « L’instrument qui a permis d’avoir un acquis, c’est l’unité et celle-ci s’est bâtie au sein du Grand cadre. Sans cela, nous n’obtiendrons absolument rien. De ce fait, nous réitérons toute notre ouverture à aller dans le sens souhaité par les enseignants », ajoute-t-il.
Par ailleurs, il demande aux médiateurs de continuer de jouer leur rôle. Moustapha Diakhaté, Pr Iba Der Thiam et les autres, souligne-t-il, avaient engagé leur crédibilité. Mais depuis lors, ils se sont « terrés ».
Ainsi, malgré les dissensions notées au sein de leur regroupement de syndicats, il affirme que tous les enseignants parlent le même langage et souhaitent travailler dans l’unité. D’ailleurs, il salue la prise de conscience de l’autre Grand cadre dirigé par Abdou Faty. « L’instrument qui a permis d’avoir un acquis, c’est l’unité et celle-ci s’est bâtie au sein du Grand cadre. Sans cela, nous n’obtiendrons absolument rien. De ce fait, nous réitérons toute notre ouverture à aller dans le sens souhaité par les enseignants », ajoute-t-il.
Par ailleurs, il demande aux médiateurs de continuer de jouer leur rôle. Moustapha Diakhaté, Pr Iba Der Thiam et les autres, souligne-t-il, avaient engagé leur crédibilité. Mais depuis lors, ils se sont « terrés ».