Interpellé sur cette question dans un entretien avec LA Tribune, Me El Hadj Diouf a réduit Moustapha Cissé Lô au rang de "zéro". "Je ne souhaite même pas répondre à ce personnage à la fois dangereux encombrant dont la ville accueillante de Touba n'a même plus besoin ; quelqu'un dont tous les actes frisent la déraison et qui passe tout son temps à s'attaquer à ses camarades de parti. Cela prouve que nous n'avons pas une Assemblée nationale sérieuse. Parce que quand vous avez un Moustapha Cissé Lô dont le niveau intellectuel est au degré zéro et qui est élu comme deuxième vice-président de l'Assemblée nationale du Sénégal, c'est une injure faite à l'institution parlementaire qui est normalement l'une des plus prestigieuses institutions dans une République sérieuse".
Sur la plainte brandie par le député apériste, Me Diouf déclare? pas du tout intimidé : "Je voudrais dire à Cissé Lô et compagnie que je n'ai que mépris pour eux. J'attends leur plainte dont d'ailleurs je réclame les articles du Code pénal qui la sous-tendent. J'attends qu'on me dise quel délit j'ai commis. Ils me reprochent de m'être attaqué au président de l'Assemblée et à l'institution parlementaire ? Oui, je critique l'institution parlementaire, je critique son fonctionnement et je serai désormais plus virulent. Le président de l'Assemblée n'est rien du tout ; sans les députés qui l'ont élu, il ne serait pas président de l'Assemblée. Lui et Cissé Lô ont étalé à la face du monde leurs limites intellectuelles. Ils ont montré qu'ils ne maîtrisent aucun texte en tant que président de l'Assemblée et deuxième vice-président".
Sur la plainte brandie par le député apériste, Me Diouf déclare? pas du tout intimidé : "Je voudrais dire à Cissé Lô et compagnie que je n'ai que mépris pour eux. J'attends leur plainte dont d'ailleurs je réclame les articles du Code pénal qui la sous-tendent. J'attends qu'on me dise quel délit j'ai commis. Ils me reprochent de m'être attaqué au président de l'Assemblée et à l'institution parlementaire ? Oui, je critique l'institution parlementaire, je critique son fonctionnement et je serai désormais plus virulent. Le président de l'Assemblée n'est rien du tout ; sans les députés qui l'ont élu, il ne serait pas président de l'Assemblée. Lui et Cissé Lô ont étalé à la face du monde leurs limites intellectuelles. Ils ont montré qu'ils ne maîtrisent aucun texte en tant que président de l'Assemblée et deuxième vice-président".