Depuis plus de six mois, certains quartiers de Dakar et de sa banlieue dont Parcelles Assainies, Soprim s’approvisionnement difficilement en eau. Certains sont obligés de veiller la nuit ou parcourir des quartiers pour espérer avoir le liquide précieux.
Une situation que la Sénégalaise des eaux ( Sde) ne nie pas et se dit solidaire avec les populations. Dans un entretien avec «l’Observateur » son directeur d’exploitation, Dierry Bâ , assure qu’ils sont en train de travailler pour assurer ce déficit d’eau.
"Nous sommes en train de faire chaque jour, un travail colossal pour régler le problème d’eau aux Parcelles Assainies et dans les autres quartiers de Dakar. Il existe un déficit qui fait que le quart de la population n’a pas d’eau », dit-il, sans avancer une date sur le retour à la normale.
« Tous les quartiers ne peuvent avoir de l’eau, car les habitations ne sont pas les mêmes : ceux qui habitent en hauteur n’ont qu’à installer des bassins, car leurs positions par rapport aux tuyaux d’eau ne leur permettent d’avoir la quantité d’eau qu’ils ont besoin ».
Une situation que la Sénégalaise des eaux ( Sde) ne nie pas et se dit solidaire avec les populations. Dans un entretien avec «l’Observateur » son directeur d’exploitation, Dierry Bâ , assure qu’ils sont en train de travailler pour assurer ce déficit d’eau.
"Nous sommes en train de faire chaque jour, un travail colossal pour régler le problème d’eau aux Parcelles Assainies et dans les autres quartiers de Dakar. Il existe un déficit qui fait que le quart de la population n’a pas d’eau », dit-il, sans avancer une date sur le retour à la normale.
« Tous les quartiers ne peuvent avoir de l’eau, car les habitations ne sont pas les mêmes : ceux qui habitent en hauteur n’ont qu’à installer des bassins, car leurs positions par rapport aux tuyaux d’eau ne leur permettent d’avoir la quantité d’eau qu’ils ont besoin ».