La Cour de répression de l’enrichissement illicite est un instrument de règlements de comptes politiques. L’avis est du Secrétaire général de l’Aj/Pads, Mamadou Diop Decroix. « Leur arrestation et leur détention ont toujours été gouvernées par des raisons strictement politiques. Aujourd’hui, les plus ardents défenseurs de la prétendue traque des biens mal acquis se sentent totalement floués à tous égards, sachant parfaitement, au plus profond d’eux-mêmes, qu’ils ont été menés en bateau pour une cause qui n’était en rien celle du peuple Sénégalais.
Les spéculations malveillantes sur les conditions de la délivrance de Karim Wade ne nous engagent ni ne nous intéressent au sens où, selon nous, cette délivrance est la résultante d’un grand nombre de facteurs endogènes et exogènes parmi lesquels les combats menés sans cesse, depuis 2012, par les forces politiques et sociales opposées à la Crei, les pressions discrètes mais constantes d’autorités religieuses de premier plan, instances de régulation et de légitimation dans notre pays, les arrêts et avis de juridictions internationales et le contexte national marqué par le réchauffement du front social, enseignement, santé, foncier, etc. et les résultats issus du référendum », ont déclaré Diop Decroix et ses camarades, dans les colonnes de WalfQuotidien.
« C’est de tout cela que le président de la République semble avoir fait une lecture correcte en délivrant Karim Meïssa Wade. Si tel était le cas, alors nous l’appelons à poursuivre la dynamique de réformes pour la restauration des droits de l’Opposition (meetings, marches, rassemblements, etc.), l’accès de cette opposition et des organisations de la société civile aux médias du service public et la garantie d’un processus électoral fiable et crédible », ajoute-t-il.
Pour ces libéraux, l’arrestation et la détention des personnes poursuivis dans le cadre de la traque des biens mal acquis ont toujours été gouvernées par des raisons strictement politiques. Aussi, soulignent-ils : « Aujourd’hui, les plus ardents défenseurs de la prétendue traque des biens mal acquis se sentent totalement floués à tous égards, sachant parfaitement au plus profond d’eux-mêmes, qu’ils ont été menés en bateau pour une cause qui n’était en rien celle du peuple Sénégalais ».
Fort de ce constat, ils exigent la disparition pure et simple dans les meilleurs délais de la Crei et la libération des autres détenus
Les spéculations malveillantes sur les conditions de la délivrance de Karim Wade ne nous engagent ni ne nous intéressent au sens où, selon nous, cette délivrance est la résultante d’un grand nombre de facteurs endogènes et exogènes parmi lesquels les combats menés sans cesse, depuis 2012, par les forces politiques et sociales opposées à la Crei, les pressions discrètes mais constantes d’autorités religieuses de premier plan, instances de régulation et de légitimation dans notre pays, les arrêts et avis de juridictions internationales et le contexte national marqué par le réchauffement du front social, enseignement, santé, foncier, etc. et les résultats issus du référendum », ont déclaré Diop Decroix et ses camarades, dans les colonnes de WalfQuotidien.
« C’est de tout cela que le président de la République semble avoir fait une lecture correcte en délivrant Karim Meïssa Wade. Si tel était le cas, alors nous l’appelons à poursuivre la dynamique de réformes pour la restauration des droits de l’Opposition (meetings, marches, rassemblements, etc.), l’accès de cette opposition et des organisations de la société civile aux médias du service public et la garantie d’un processus électoral fiable et crédible », ajoute-t-il.
Pour ces libéraux, l’arrestation et la détention des personnes poursuivis dans le cadre de la traque des biens mal acquis ont toujours été gouvernées par des raisons strictement politiques. Aussi, soulignent-ils : « Aujourd’hui, les plus ardents défenseurs de la prétendue traque des biens mal acquis se sentent totalement floués à tous égards, sachant parfaitement au plus profond d’eux-mêmes, qu’ils ont été menés en bateau pour une cause qui n’était en rien celle du peuple Sénégalais ».
Fort de ce constat, ils exigent la disparition pure et simple dans les meilleurs délais de la Crei et la libération des autres détenus