Ces accusations sont centrées autour de 15 points et portent sur divers aspects de la gestion de l’édile de la Patte d’Oie. Entre autres, l’on retient de la lettre adressée à la tutelle que « deux mois après son installation, les locaux de l’hôtel communal avait été réfectionnés à hauteur de 36 millions de francs Cfa, dans une totale opacité (sans délibération du Conseil municipal) ».
Poursuivant leurs griefs à l’endroit du maire de la Patte d’Oie, ses collègues conseillers municipaux parlent d’« un immeuble R+2 loué à 750 mille francs Cfa par mois jusqu’à présent inoccupé ». En plus, la mairie n’a pas encore payé un seul mois de loyer. Aussi dans le domaine des activités de la jeunesse, les collègues du maire Banda Diop, qui font état d’un début de blocage du fonctionnement régulier de l’institution communal, renseignent, dans Le Quotidien, que « depuis l’installation de l’équipe municipale en juin 2014, aucune Asc, aucun lieu de culte n’a reçu sa subvention et sans raison précise, ni pour le Conseil municipal ni pour les ayants droit ».
Par ailleurs, les salaires constituent un enjeu pour les auteurs du courrier envoyé à Abdoulaye Diouf Sarr. Puisque ces derniers font état de l’existence d’agents fictifs. « Plusieurs dizaines d’agents contractuels fictifs figurent sur les états de paiements depuis plus d’un an. Certains étant renvoyés, leurs salaires continuent à être payés à leur insu », révèlent-ils. Le domaine de la construction est également concerné par l’opacité de la gestion du maire de la Patte d’Oie dénoncé par ces agents.
Poursuivant leurs griefs à l’endroit du maire de la Patte d’Oie, ses collègues conseillers municipaux parlent d’« un immeuble R+2 loué à 750 mille francs Cfa par mois jusqu’à présent inoccupé ». En plus, la mairie n’a pas encore payé un seul mois de loyer. Aussi dans le domaine des activités de la jeunesse, les collègues du maire Banda Diop, qui font état d’un début de blocage du fonctionnement régulier de l’institution communal, renseignent, dans Le Quotidien, que « depuis l’installation de l’équipe municipale en juin 2014, aucune Asc, aucun lieu de culte n’a reçu sa subvention et sans raison précise, ni pour le Conseil municipal ni pour les ayants droit ».
Par ailleurs, les salaires constituent un enjeu pour les auteurs du courrier envoyé à Abdoulaye Diouf Sarr. Puisque ces derniers font état de l’existence d’agents fictifs. « Plusieurs dizaines d’agents contractuels fictifs figurent sur les états de paiements depuis plus d’un an. Certains étant renvoyés, leurs salaires continuent à être payés à leur insu », révèlent-ils. Le domaine de la construction est également concerné par l’opacité de la gestion du maire de la Patte d’Oie dénoncé par ces agents.