Ces leaders de parti sont soutenus par des associations et mouvements qui roulent également pour Macky Sall. La particularité de ces démissionnaires de «Macky 2012», c’est qu’ils représentaient l’aile dure de la coalition susnommée. La nouvelle coalition «Les républicains ‘doomu rewmi» sera officiellement lancée le 19 octobre prochain, lors d’une conférence de presse.
La décision prise par Maguette Ngom et compagnie de claquer la porte de la coalition «Macky 2012» n’est point une surprise, si l’on sait que l’atmosphère au sein de cette entité politique était devenue très tendue, depuis belle lurette, et que la situation s’était exacerbée au lendemain de la mise en place d’un nouveau bureau. Le chef de file de la Nida et ses alliés qui tenaient les rênes de la coalition depuis l’époque, où Ibrahima Sall, président du Mouvement pour la démocratie et les libertés (Model), s’occupait de la coordination, ne se retrouvaient plus dans ce que faisait la coalition. Depuis lors, deux camps se regardaient en chiens de faïence : l’ancien bureau et le nouveau. D’ailleurs, le premier camp avait fini par boycotter les activités de ladite structure. Déjà en novembre 2014, les premières fissures avaient commencé à se dessiner au sein de la coalition qui regroupe les alliés de la première heure de Macky Sall.
La décision prise par Maguette Ngom et compagnie de claquer la porte de la coalition «Macky 2012» n’est point une surprise, si l’on sait que l’atmosphère au sein de cette entité politique était devenue très tendue, depuis belle lurette, et que la situation s’était exacerbée au lendemain de la mise en place d’un nouveau bureau. Le chef de file de la Nida et ses alliés qui tenaient les rênes de la coalition depuis l’époque, où Ibrahima Sall, président du Mouvement pour la démocratie et les libertés (Model), s’occupait de la coordination, ne se retrouvaient plus dans ce que faisait la coalition. Depuis lors, deux camps se regardaient en chiens de faïence : l’ancien bureau et le nouveau. D’ailleurs, le premier camp avait fini par boycotter les activités de ladite structure. Déjà en novembre 2014, les premières fissures avaient commencé à se dessiner au sein de la coalition qui regroupe les alliés de la première heure de Macky Sall.