Présidant hier, vendredi 7 août, la réunion du Conseil présidentiel sur la gestion de la riposte contre la pandémie du coronavirus, le chef de l’Etat, Macky Sall, dans un soucis de mieux faire face à la forte augmentation actuelle du nombre des cas de contamination et de décès liés à la Covid-19, a donné plusieurs orientations au gouvernement. Et parmi ces directives présidentielles, figurent en bonne place l’interdiction des cérémonies de levée de corps dans les hôpitaux marquées ces derniers temps par des disparitions de personnalités publiques.
En lieu et place de ces cérémonies de levée de corps dans les hôpitaux souvent fréquentées par des adultes du troisième âge, tranche d’âge comme la plus exposée aux risques de la Covid-19, le Président Sall a préconisé des cérémonies de présentation de condoléances sans rassemblement. Cette décision du Président Sall intervient quelques jours après la réaction du leader du parti Rewmi, Idrissa Seck suite au décès de son cousin, Alioune Badara Niang, membre fondateur du Pds, décédé le dimanche 2 aout dernier à l’hôpital Principal.
Alors que tout le monde s’attendait à voir l’ancien Premier ministre sortir de son confinement total depuis le mois de mars dernier pour venir dire «Adieu» à celui qui n’avait pas hésité à braver le président Wade en 2005, dans le cadre de l’affaire politico-judiciaire des chantiers de Thiès, pour prendre sa défense, Idrissa Seck a rendu public une note pour annoncer qu’il ne sera pas à la cérémonie de levée de corps de celui qu’il considérait également comme son papa, cérémonie prévue le lendemain dans la cour de la morgue de l’hôpital Principal de Dakar
Et pour justifier cette décision, l’ancien candidat de la coalition Idy2019 arrivé 2e à la dernière élection présidentielle du 26 février 2019, convoque justement le principe du respect de ces mesures barrières édictées par les autorités sanitaires et sécuritaires. « En application des gestes barrières et de la règle concernant la non-participation à tout rassemblement de plus de 10 personnes, j’informe l’opinion que je ne serai pas présent à la levée du corps de mon cousin Alioune Badara Niang, prévue demain à l’hôpital Principal », avait-il écrit.
Poursuivant son propos, Idrissa Seck en avait d’ailleurs profité pour réitérer «son appel aux populations sénégalaises, à observer les mêmes règles» pour dit-il "augmenter nos chances de vaincre la pandémie qui réapparaît même dans des pays qui croyaient avoir pourtant réussi à la maîtriser"». Il faut donc dire que le chef de l’Etat à travers la mesure d’interdiction des cérémonies de levée de corps dans les hôpitaux pour «protéger» les personnes du troisième âge, conforte ainsi le leader du parti Rewmi, dont la décision de s’abstenir à faire le déplacement le lundi dernier semble avoir été bien réfléchie.
En lieu et place de ces cérémonies de levée de corps dans les hôpitaux souvent fréquentées par des adultes du troisième âge, tranche d’âge comme la plus exposée aux risques de la Covid-19, le Président Sall a préconisé des cérémonies de présentation de condoléances sans rassemblement. Cette décision du Président Sall intervient quelques jours après la réaction du leader du parti Rewmi, Idrissa Seck suite au décès de son cousin, Alioune Badara Niang, membre fondateur du Pds, décédé le dimanche 2 aout dernier à l’hôpital Principal.
Alors que tout le monde s’attendait à voir l’ancien Premier ministre sortir de son confinement total depuis le mois de mars dernier pour venir dire «Adieu» à celui qui n’avait pas hésité à braver le président Wade en 2005, dans le cadre de l’affaire politico-judiciaire des chantiers de Thiès, pour prendre sa défense, Idrissa Seck a rendu public une note pour annoncer qu’il ne sera pas à la cérémonie de levée de corps de celui qu’il considérait également comme son papa, cérémonie prévue le lendemain dans la cour de la morgue de l’hôpital Principal de Dakar
Et pour justifier cette décision, l’ancien candidat de la coalition Idy2019 arrivé 2e à la dernière élection présidentielle du 26 février 2019, convoque justement le principe du respect de ces mesures barrières édictées par les autorités sanitaires et sécuritaires. « En application des gestes barrières et de la règle concernant la non-participation à tout rassemblement de plus de 10 personnes, j’informe l’opinion que je ne serai pas présent à la levée du corps de mon cousin Alioune Badara Niang, prévue demain à l’hôpital Principal », avait-il écrit.
Poursuivant son propos, Idrissa Seck en avait d’ailleurs profité pour réitérer «son appel aux populations sénégalaises, à observer les mêmes règles» pour dit-il "augmenter nos chances de vaincre la pandémie qui réapparaît même dans des pays qui croyaient avoir pourtant réussi à la maîtriser"». Il faut donc dire que le chef de l’Etat à travers la mesure d’interdiction des cérémonies de levée de corps dans les hôpitaux pour «protéger» les personnes du troisième âge, conforte ainsi le leader du parti Rewmi, dont la décision de s’abstenir à faire le déplacement le lundi dernier semble avoir été bien réfléchie.