«Avec l’arrivée de l’Ong UrbaSen et la mise en place de la Fédération sénégalaise des habitants (Fhs), huit cent (800) maisons ont été réhabilitées. Plus de 1500 familles sont retournées dans leur maison. Les enfants ont pu reprendre leurs études. Les pères et mères de famille ont aussi repris leurs activités génératrices de revenu. Le rêve de planification citoyenne des populations s’est réalisé avec les routes en pavée, visibles partout dans les quartiers de la commune», explique Astou Mbengue, responsable de la collecte de données de la Fédération sénégalaise des habitants (Fhs).
Mais, malgré ces efforts, il reste beaucoup à faire dans le domaine de l’assainissement. «Djeddah Thiaroye Kao est une localité non planifiée. Il n’y a pas de réseau d’assainissement. Les eaux des maisons sont rejetées dans les rues. Nous, à notre niveau, nous construisons des ouvrages d’assainissement. 85% de nos ouvrages fonctionnent et aident les populations», explique Maguette Diouf Cissé, chargée de programme à UrbaSen.
À l’en croire, l’objectif majeur à atteindre reste la construction de la cité Fhs, qui selon elle, est en cours.
«Les populations démunies, malgré les difficultés causées par les inondations, ont cru en elles. Elles se sont cotisées et aujourd’hui, nous sommes parvenus à acheter un terrain sur fonds propres à Gorom. Il sera aménagé et construit. Les maisons vont appartenir à elles», renseigne Mme Mbengue
Mais, malgré ces efforts, il reste beaucoup à faire dans le domaine de l’assainissement. «Djeddah Thiaroye Kao est une localité non planifiée. Il n’y a pas de réseau d’assainissement. Les eaux des maisons sont rejetées dans les rues. Nous, à notre niveau, nous construisons des ouvrages d’assainissement. 85% de nos ouvrages fonctionnent et aident les populations», explique Maguette Diouf Cissé, chargée de programme à UrbaSen.
À l’en croire, l’objectif majeur à atteindre reste la construction de la cité Fhs, qui selon elle, est en cours.
«Les populations démunies, malgré les difficultés causées par les inondations, ont cru en elles. Elles se sont cotisées et aujourd’hui, nous sommes parvenus à acheter un terrain sur fonds propres à Gorom. Il sera aménagé et construit. Les maisons vont appartenir à elles», renseigne Mme Mbengue