
Adoptée le mercredi 2 avril 2025 par l’Assemblée nationale, la loi d’interprétation de la loi d’amnistie continue de susciter la controverse. Alors que le texte attend toujours sa promulgation et son éventuelle application, l’opposition s’organise pour en contester la légalité. En première ligne, le groupe parlementaire Takku-Wallu, dirigé par Aïssata Tall Sall, annonce un recours imminent devant le Conseil constitutionnel.
Selon les informations rapportées par "Les Échos" repris par "Senenews", le recours est presque finalisé. Le groupe a d’ores et déjà réuni les dix-sept signatures nécessaires pour saisir la juridiction suprême. La requête devrait être officiellement déposée ce lundi ou mardi au plus tard, selon le journal. Mais Takku-Wallu ne compte pas faire cavalier seul dans ce bras de fer juridique. Toujours d’après "Les Échos", des alliés de l’opposition seraient prêts à appuyer la démarche en apportant leurs signatures. « Des discussions sont très avancées et il est prévu d’avoir le maximum de députés pour s’opposer à cette loi d’interprétation », confie une source proche du dossier.
Ce texte, qui vise à clarifier certains aspects de la loi d’amnistie récemment votée, est vu par ses détracteurs, comme une manœuvre politique destinée à préciser ou élargir l’application de l’amnistie, notamment dans des dossiers sensibles.
Selon les informations rapportées par "Les Échos" repris par "Senenews", le recours est presque finalisé. Le groupe a d’ores et déjà réuni les dix-sept signatures nécessaires pour saisir la juridiction suprême. La requête devrait être officiellement déposée ce lundi ou mardi au plus tard, selon le journal. Mais Takku-Wallu ne compte pas faire cavalier seul dans ce bras de fer juridique. Toujours d’après "Les Échos", des alliés de l’opposition seraient prêts à appuyer la démarche en apportant leurs signatures. « Des discussions sont très avancées et il est prévu d’avoir le maximum de députés pour s’opposer à cette loi d’interprétation », confie une source proche du dossier.
Ce texte, qui vise à clarifier certains aspects de la loi d’amnistie récemment votée, est vu par ses détracteurs, comme une manœuvre politique destinée à préciser ou élargir l’application de l’amnistie, notamment dans des dossiers sensibles.