Professeur de Droit Public, Saidou Nourou Tall vient de mettre à la disposition du public un livre de 550 pages. Cet ouvrage dont la cérémonie de dédicace a eu lieu à l’espace Harmattan est intitulé : «Droit des organisations internationales africaines, Théorie générale. Droit communautaire comparé. Droit de l’homme, paix et sécurité».
"C’est un ouvrage qui est divisé en trois parties et qui met l’accent sur toutes les organisations africaines " a déclaré le Pr Saidou Nourou Tall. La première partie, explique-t-il, porte sur la théorie générale des organisations, à la deuxième on compare les différents droits communautaires africains et la troisième et dernière partie concerne à la fois les droits de l’homme, la paix et la sécurité.
"Ça fait 5 ans, voire 6 que je fais ce cours aussi bien à Dakar qu’à Abidjan et dans les autres capitales. Il n’y a que la Guinée Bissau parce que je ne maîtrise pas le portuguais et sans doute on ne m’a jamais invité" a révélé l’auteur. Dans ce livre, la réflexion a tourné autour des organisations internationales qui ont existé et qui ont disparu comme celles qui continuent toujours d’exister et qui ont produit "le droit que nous essayons d’analyser de manière à , évidemment, être un manuel pour les étudiants, mais aussi un ouvrage pour les praticiens".
"C’est un ouvrage qui allie à la fois la théorie et la pratique. Parce que nous avons la chance d’avoir travaillé avec la Cedeao et à l’Uemoa et c’est le fruit de toutes ces expériences là que nous essayons de montrer à travers cet ouvrage", a fait savoir le Pr Tall aux nombreux invités, dont le Pr Madior Fall, conseiller du Président de la République.
Il y a aujourd’hui près de 250 organisations internationales (Exemple : Ua), rien qu’en Afrique Subsaharienne sans compter le Magrheb, informe l’auteur. "Ceci montre combien il y a une vitalité internationale à travers ces organisations", enseigne-t-il. C’est un ouvrage, indique Saidou Nourou Tall, où on peut trouver des aspects théoriques mais aussi toute une jurisprudence parce chacune de ces organisations a pratiquement une cour de justice qui rend des arrêts et des avis consultatifs.
La cérémonie de dédicace du livre a été rythmée par des témoignages de professeurs comme Mamadou Badji, qui a écrit l’avant-propos, Babacar Gueye, qui s’est chargé de la préface, Madior Fall et du Colonel Tidiane Diop ainsi que des membres de sa famille.
"C’est un ouvrage qui est divisé en trois parties et qui met l’accent sur toutes les organisations africaines " a déclaré le Pr Saidou Nourou Tall. La première partie, explique-t-il, porte sur la théorie générale des organisations, à la deuxième on compare les différents droits communautaires africains et la troisième et dernière partie concerne à la fois les droits de l’homme, la paix et la sécurité.
"Ça fait 5 ans, voire 6 que je fais ce cours aussi bien à Dakar qu’à Abidjan et dans les autres capitales. Il n’y a que la Guinée Bissau parce que je ne maîtrise pas le portuguais et sans doute on ne m’a jamais invité" a révélé l’auteur. Dans ce livre, la réflexion a tourné autour des organisations internationales qui ont existé et qui ont disparu comme celles qui continuent toujours d’exister et qui ont produit "le droit que nous essayons d’analyser de manière à , évidemment, être un manuel pour les étudiants, mais aussi un ouvrage pour les praticiens".
"C’est un ouvrage qui allie à la fois la théorie et la pratique. Parce que nous avons la chance d’avoir travaillé avec la Cedeao et à l’Uemoa et c’est le fruit de toutes ces expériences là que nous essayons de montrer à travers cet ouvrage", a fait savoir le Pr Tall aux nombreux invités, dont le Pr Madior Fall, conseiller du Président de la République.
Il y a aujourd’hui près de 250 organisations internationales (Exemple : Ua), rien qu’en Afrique Subsaharienne sans compter le Magrheb, informe l’auteur. "Ceci montre combien il y a une vitalité internationale à travers ces organisations", enseigne-t-il. C’est un ouvrage, indique Saidou Nourou Tall, où on peut trouver des aspects théoriques mais aussi toute une jurisprudence parce chacune de ces organisations a pratiquement une cour de justice qui rend des arrêts et des avis consultatifs.
La cérémonie de dédicace du livre a été rythmée par des témoignages de professeurs comme Mamadou Badji, qui a écrit l’avant-propos, Babacar Gueye, qui s’est chargé de la préface, Madior Fall et du Colonel Tidiane Diop ainsi que des membres de sa famille.