Pour la libération des 12 coupeurs de bois par des éléments supposés appartenir au MFDC, depuis mercredi dernier, le directeur de la scierie de Diango qui les employait dit avoir versé un million de FCfa en guise de rançon pour leur libération. Selon Pape Cissé, le reliquat de 4 millions de FCfa doit être payé aux rebelles dans 25 jours.
« Ils m’ont demandé 5 millions ; je leur ai donné un million de FCfa. Et ils ont libéré mes gars. Il me reste 4 millions à payer dans un délai de 25 jours. Si je ne le fais pas, ils vont revenir faire le même problème ».
Pour entrer en possession de l’argent, « ils ont envoyé quelqu’un que je n’ai Jamais vu ; à bord d’une moto Jakarta, il m’a téléphoné pour se présenter et me dire que c’est lui qui devait venir prendre l’argent ».
Sur une voix bégayante, M. Cissé promet de payer. « Si j’ai les 4 millions de FCfa, je vais payer parce que comme je travaille dans la forêt, je suis obligé ».
Il souligne qu’il ne pouvait pour rien au monde avertir les forces de sécurité. « Je ne pouvais pas informer les forces de sécurité parce que si je le fais, ils vont tuer mes employés. Il fallait juste donner l’argent pour qu’ils soient relâchés », a-t-il lâché sur un air désolé.
« Ils m’ont demandé 5 millions ; je leur ai donné un million de FCfa. Et ils ont libéré mes gars. Il me reste 4 millions à payer dans un délai de 25 jours. Si je ne le fais pas, ils vont revenir faire le même problème ».
Pour entrer en possession de l’argent, « ils ont envoyé quelqu’un que je n’ai Jamais vu ; à bord d’une moto Jakarta, il m’a téléphoné pour se présenter et me dire que c’est lui qui devait venir prendre l’argent ».
Sur une voix bégayante, M. Cissé promet de payer. « Si j’ai les 4 millions de FCfa, je vais payer parce que comme je travaille dans la forêt, je suis obligé ».
Il souligne qu’il ne pouvait pour rien au monde avertir les forces de sécurité. « Je ne pouvais pas informer les forces de sécurité parce que si je le fais, ils vont tuer mes employés. Il fallait juste donner l’argent pour qu’ils soient relâchés », a-t-il lâché sur un air désolé.