À les en croire, ceux qui dirigent actuellement le Pds doivent jouer pour gagner et pour perdre comme lors des élections locales de janvier passé. «(…) pour corriger cette chute inédite, nous espérons que ceux qui ont gagné leur commune devront logiquement être inscrits aux places qu’ils méritent. Sur ceux, les Karimistes doivent être pris en compte, car ils constituent une force importante dans la vie du parti», peste Fama Seck Ndiaye du mouvement And Takkou Fal Karim.
Les libéraux étaient en assemblée générale à la Biscuiterie. À en croire ses souteneurs de Karim Wade, si le copinage et la gestion clanique continuent être pratiqués, le Pds ira directement à terre.
«Si notre candidat Karim n’était pas exilé de force et détenu au Qatar, le Pds respirerait une meilleure forme. Nous exigeons son retour et la révision de son procès. Nous appelons tous les libéraux à l’unité pour faire face à l’injustice», soupire Fama Seck Ndiaye.
Ils ont mis à profit cette rencontre pour honorer leur mentor charismatique, le Président Me Abdoulaye Wade, à l’occasion de l’anniversaire des 22 ans de l’alternance survenue au Sénégal, en lui offrant un tableau d’art.
«Cet homme a mis le Sénégal sur la voix du développement», soutiennent les libéraux.
Les libéraux de France s’étaient donnés rendez-vous à Paris. La rencontre a vu la participation de tous les responsables de la capitale française. Diagnostiquant la situation politique au Sénégal, Maïssa Touré et ses camarades n’ont pas été tendres avec le Président Macky Sall. Ils l’ont cloué au pilori.
Selon eux, Macky Sall est l’unique responsable de la situation que traverse Karim Wade. «Macky Sall doit savoir que le Président Me Abdoulaye Wade l’avait exilé, il ne serait pas Président du Sénégal. Il faut que les Sénégalais sachent que c’est Macky Sall qui retienne Karim au Qatar. Il sait pertinemment que Karim est le seul à le déboulonner du pouvoir. C’est un peureux. S’il ne le lui rend pas son passeport, le Pds va se mobiliser pour faire revenir Karim au Sénégal», tonne Ibrahima Diop, chargé de la communication de la fédération Pds de France. Rapporte Vipeoples .
Les libéraux de France rejettent en bloc le parrainage. «Le peuple sénégalais est le meilleur parrain. Il doit se confirmer à la décision de justice de la Cedeao» dit-il.
Les libéraux étaient en assemblée générale à la Biscuiterie. À en croire ses souteneurs de Karim Wade, si le copinage et la gestion clanique continuent être pratiqués, le Pds ira directement à terre.
«Si notre candidat Karim n’était pas exilé de force et détenu au Qatar, le Pds respirerait une meilleure forme. Nous exigeons son retour et la révision de son procès. Nous appelons tous les libéraux à l’unité pour faire face à l’injustice», soupire Fama Seck Ndiaye.
Ils ont mis à profit cette rencontre pour honorer leur mentor charismatique, le Président Me Abdoulaye Wade, à l’occasion de l’anniversaire des 22 ans de l’alternance survenue au Sénégal, en lui offrant un tableau d’art.
«Cet homme a mis le Sénégal sur la voix du développement», soutiennent les libéraux.
Les libéraux de France s’étaient donnés rendez-vous à Paris. La rencontre a vu la participation de tous les responsables de la capitale française. Diagnostiquant la situation politique au Sénégal, Maïssa Touré et ses camarades n’ont pas été tendres avec le Président Macky Sall. Ils l’ont cloué au pilori.
Selon eux, Macky Sall est l’unique responsable de la situation que traverse Karim Wade. «Macky Sall doit savoir que le Président Me Abdoulaye Wade l’avait exilé, il ne serait pas Président du Sénégal. Il faut que les Sénégalais sachent que c’est Macky Sall qui retienne Karim au Qatar. Il sait pertinemment que Karim est le seul à le déboulonner du pouvoir. C’est un peureux. S’il ne le lui rend pas son passeport, le Pds va se mobiliser pour faire revenir Karim au Sénégal», tonne Ibrahima Diop, chargé de la communication de la fédération Pds de France. Rapporte Vipeoples .
Les libéraux de France rejettent en bloc le parrainage. «Le peuple sénégalais est le meilleur parrain. Il doit se confirmer à la décision de justice de la Cedeao» dit-il.