World Vision Sénégal a fait le lancement externe de sa nouvelle campagne « Ensemble pour un Sénégal sans mariage d’enfants » avec plus de 1000 enfants issus de ses différentes zones d’intervention.
Pour le leader régional de World Vision, Esther Lehman Sow, le combat ne peut pas seulement être un combat pour une entité mais plutôt un combat de tous. « World Vision croit fermement que les communautés confessionnelles, c’est-à-dire basées sur la foi, ont un rôle essentiel à jouer », a-t-elle dit.
« Nous savons sur la base de notre expérience dans le travail humanitaire auprès des communautés, ô combien sont influents, les leaders religieux.
Ils doivent sensibiliser leurs communautés, les membres de leurs églises, confréries et en général leurs familles religieuses, sur ce qu’est la violence faite aux enfants et de conscientiser tout fidèle sur le fait que cette violence est présente dans tous les pays, villes et communautés », a poursuivi Jean Fréderic Manga, responsable du Plaidoyer de World vision Sénégal.
Le directeur de la Protection des droits de l’enfance, Niokhobaye Diouf, lui qui parlait au nom du ministre de la Femme, Mariama Sarr, a dénoncé le mariage des enfants qui excluent ces derniers du système scolaire.
Selon lui, pour relever ces défis de la pauvreté, de la violence, de l’exclusion, de l’ignorance et de celui de la protection des enfants, il faut mobiliser tous les forces vives. Il propose d’opérer ou de suivre l’agenda 2030 pour un développement durable des enfants en Afrique.
C’est en effet, un programme qui permettra d’accélérer la protection et l’autonomisation de l’enfant. Mais aussi promouvoir les objectifs de développement durable (ODD), qui sont un défi majeur pour mettre fin aux mariages des enfants au Sénégal.
Il fait cependant remarquer que « c’est une synergie d’action qui pourra permettre d’atteindre des objectifs et d’avoir des résultats escomptés ».
Comme réponse aux mariages des enfants, le leader régional de World Vision, Esther Lehman soutient que « chaque enfant est créé à l’image de Dieu. Cela veut dire que chaque enfant a ses droits et mérite d’avoir des rêves et des ambitions ».
Pour finir, le représentant du ministre de la femme, Niokhobaye Diouf a rappelé que « le Sénégal a signé la charte Africaine des droits de l’enfant, il est alors dans l’obligation d’harmoniser sa législation interne par rapport à ses lois supra nationales ». C’est d’ailleurs en ce sens qu'il relève qu’ « il y a une contradiction en ce qui concerne le mariage de l’enfant. Pour la fille, la règle est fixée à 16 ans et pour le garçon, on n’a pas le droit de le marier avant 18 ans ».
Pour le leader régional de World Vision, Esther Lehman Sow, le combat ne peut pas seulement être un combat pour une entité mais plutôt un combat de tous. « World Vision croit fermement que les communautés confessionnelles, c’est-à-dire basées sur la foi, ont un rôle essentiel à jouer », a-t-elle dit.
« Nous savons sur la base de notre expérience dans le travail humanitaire auprès des communautés, ô combien sont influents, les leaders religieux.
Ils doivent sensibiliser leurs communautés, les membres de leurs églises, confréries et en général leurs familles religieuses, sur ce qu’est la violence faite aux enfants et de conscientiser tout fidèle sur le fait que cette violence est présente dans tous les pays, villes et communautés », a poursuivi Jean Fréderic Manga, responsable du Plaidoyer de World vision Sénégal.
Le directeur de la Protection des droits de l’enfance, Niokhobaye Diouf, lui qui parlait au nom du ministre de la Femme, Mariama Sarr, a dénoncé le mariage des enfants qui excluent ces derniers du système scolaire.
Selon lui, pour relever ces défis de la pauvreté, de la violence, de l’exclusion, de l’ignorance et de celui de la protection des enfants, il faut mobiliser tous les forces vives. Il propose d’opérer ou de suivre l’agenda 2030 pour un développement durable des enfants en Afrique.
C’est en effet, un programme qui permettra d’accélérer la protection et l’autonomisation de l’enfant. Mais aussi promouvoir les objectifs de développement durable (ODD), qui sont un défi majeur pour mettre fin aux mariages des enfants au Sénégal.
Il fait cependant remarquer que « c’est une synergie d’action qui pourra permettre d’atteindre des objectifs et d’avoir des résultats escomptés ».
Comme réponse aux mariages des enfants, le leader régional de World Vision, Esther Lehman soutient que « chaque enfant est créé à l’image de Dieu. Cela veut dire que chaque enfant a ses droits et mérite d’avoir des rêves et des ambitions ».
Pour finir, le représentant du ministre de la femme, Niokhobaye Diouf a rappelé que « le Sénégal a signé la charte Africaine des droits de l’enfant, il est alors dans l’obligation d’harmoniser sa législation interne par rapport à ses lois supra nationales ». C’est d’ailleurs en ce sens qu'il relève qu’ « il y a une contradiction en ce qui concerne le mariage de l’enfant. Pour la fille, la règle est fixée à 16 ans et pour le garçon, on n’a pas le droit de le marier avant 18 ans ».