« Trois constats se dégagent : une faute professionnelle grave, une négligence professionnelle coupable, un sabotage organisé contre le président de la République. L’Etat a été mis dans l’embarras par la faute d’un ministre incompétent. Conséquences : il faut réhabiliter et rétablir les élèves-maîtres injustement renvoyés des Crfpe dans leurs droits, procéder au dédommagement financier, moral, matériel et psychologique de ces élèves-maîtres et assurer leur formation », exige, dans une déclaration, Boubacar Sakho, porte-parole du jour des élèves-maîtres.
Très en colère, M. Sakho de s’interroger dans les colonnes du Pop : « Comment le ministre Serigne Mbaye Thiam a pu commettre une faute aussi grave sachant qu’il est entouré de personnes extrêmement compétentes, de techniciens de très haut niveau ? Lui, le grand expert-comptable, lui, le grand Lauréat du concours général. C’est dire que cette faute commise est d’une gravité inacceptable ». Le collectif des 690 élèves-maîtres estime que « c’est sa dignité (du ministre) qui est convoquée, c’est son honneur qui est convoqué et, de ce point de vue, il doit se démettre de ses fonctions pour mettre le Président à l’aise. Cette faute restera gravée dans l’histoire du système éducatif », regrette Boubacar Sakho, victime de la décision du ministre de l’Education nationale.
Très en colère, M. Sakho de s’interroger dans les colonnes du Pop : « Comment le ministre Serigne Mbaye Thiam a pu commettre une faute aussi grave sachant qu’il est entouré de personnes extrêmement compétentes, de techniciens de très haut niveau ? Lui, le grand expert-comptable, lui, le grand Lauréat du concours général. C’est dire que cette faute commise est d’une gravité inacceptable ». Le collectif des 690 élèves-maîtres estime que « c’est sa dignité (du ministre) qui est convoquée, c’est son honneur qui est convoqué et, de ce point de vue, il doit se démettre de ses fonctions pour mettre le Président à l’aise. Cette faute restera gravée dans l’histoire du système éducatif », regrette Boubacar Sakho, victime de la décision du ministre de l’Education nationale.