Le dernier Forum mondial de l’eau qui s’est tenu en mars dernier à Dakar, a permis de mettre sur pied le Blue deal de Dakar. Un programme qui traite de la problématique de l’eau et de l’assainissement, axé sur 5 axes fondamentaux à savoir : garantir le droit à l'eau et à l'assainissement pour tous, assurer la sécurité des ressources et la résilience, assurer un financement adéquat, assurer une gouvernance inclusive de l'eau et renforcer la coopération. En qui concerne la question cruciale du financement, 4 actions urgentes ont été identifiées dans le « Blue Deal ».
Il s’agit de mobiliser des ressources financières publiques adéquates, ainsi que celles des partenariats au développement, pour investir dans les infrastructures d’eau et d’assainissement, développer des emplois « bleus » et « verts », en particulier en faveur des jeunes, des femmes et du monde rural. Mais aussi encourager la mise en place de mécanismes de financements innovants, ainsi que les investissements du secteur privé dans le domaine de l’eau et de l’assainissement ; et plaider pour la mise en œuvre effective du Programme d’action d’Addis-Abeba sur le financement du développement, en particulier l’investissement dans les infrastructures de l’eau et de l’assainissement et faire évoluer les modèles de financement.
Réunis à Abidjan, les ministres africains estiment que la mise en œuvre de ces actions, nécessite, également, d’avancer sur trois fronts principalement, tels que le renforcement des réformes politiques et institutionnelles, l’augmentation de l’investissement public et privé, l'investissement dans les capacités humaines, afin d’assurer une gestion durable des infrastructures bleues.
L'As
Il s’agit de mobiliser des ressources financières publiques adéquates, ainsi que celles des partenariats au développement, pour investir dans les infrastructures d’eau et d’assainissement, développer des emplois « bleus » et « verts », en particulier en faveur des jeunes, des femmes et du monde rural. Mais aussi encourager la mise en place de mécanismes de financements innovants, ainsi que les investissements du secteur privé dans le domaine de l’eau et de l’assainissement ; et plaider pour la mise en œuvre effective du Programme d’action d’Addis-Abeba sur le financement du développement, en particulier l’investissement dans les infrastructures de l’eau et de l’assainissement et faire évoluer les modèles de financement.
Réunis à Abidjan, les ministres africains estiment que la mise en œuvre de ces actions, nécessite, également, d’avancer sur trois fronts principalement, tels que le renforcement des réformes politiques et institutionnelles, l’augmentation de l’investissement public et privé, l'investissement dans les capacités humaines, afin d’assurer une gestion durable des infrastructures bleues.
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