Les Sénégalais sont dépités par Yewwi Askan Wi qui n’a rien d’une coalition sérieuse. Ils sont désillusionnés par cette opposition composite, hétéroclite, claudicante, incohérente et absurde, une opposition sans leader, une opposition où chaque chef de parti se considère comme le dépositaire absolu de la légitimité et où chacun surveille chacun et contrôle tout le monde.
Jamais une coalition d’opposants n’a été aussi remplie d’insulteurs à gage, de flibustiers, de stipendiés, de conspirateurs et de maestros de bourdes qui ne se singularisent que par la pagaille. Yewwi est un Navire sans Capitaine ne sait pas où il ne va ni à quelle escale débarquer. En effet, la folie et la peur envahissent Yewwi. Ses membres accusent le Président de la République, Macky Sall de comploteurs et d’être entouré de faucons comploteurs. C’est grave. Mais c’est Yewwi qui est cerné de faucons, de conspirateurs, d’agitateurs et de trublions factieux.
Le Yewwi est donc un chaos ! Ils deviennent ainsi tous fous pour le pouvoir qu’il assimile à un espace de dividendes, de sinécures et de privilèges parfois même indus dans lequel se retrouvent ces gens brutes et rustres, boulimiques et inassouvis. Et la folie qui les fait dévier engendre insultes, colères et révoltes.
Sonko marginal et marginalisé – ce qu’il ignore – est impoli. Il est un menteur. C’est un imposteur. Il n’a rien d’un homme politique policé, étant agreste et bucolique. Ses souteneurs lui conseillent de ne pas se rendre au procès contre son accusatrice Adji Sarr. Mais ce serait un précédent dangereux pour la République.
Empêcher le procès, en dehors de toutes considérations judiciaires, c’est accepter, qu’aux pauvres, il est interdit de rêver. Empêcher ce procès voudrait simplement dire que notre justice est une justice de classes sociales.
Par contre, tenir ce procès, c’est offrir à une fille issue du monde rural de faire face à un homme puissant politiquement et socialement.
Assurément le procès Adji Sarr et Ousmane Sonko est aussi une demande sociale.
Mouhamadou Lamine Massaly
Prèsident du parti UNR
Jamais une coalition d’opposants n’a été aussi remplie d’insulteurs à gage, de flibustiers, de stipendiés, de conspirateurs et de maestros de bourdes qui ne se singularisent que par la pagaille. Yewwi est un Navire sans Capitaine ne sait pas où il ne va ni à quelle escale débarquer. En effet, la folie et la peur envahissent Yewwi. Ses membres accusent le Président de la République, Macky Sall de comploteurs et d’être entouré de faucons comploteurs. C’est grave. Mais c’est Yewwi qui est cerné de faucons, de conspirateurs, d’agitateurs et de trublions factieux.
Le Yewwi est donc un chaos ! Ils deviennent ainsi tous fous pour le pouvoir qu’il assimile à un espace de dividendes, de sinécures et de privilèges parfois même indus dans lequel se retrouvent ces gens brutes et rustres, boulimiques et inassouvis. Et la folie qui les fait dévier engendre insultes, colères et révoltes.
Sonko marginal et marginalisé – ce qu’il ignore – est impoli. Il est un menteur. C’est un imposteur. Il n’a rien d’un homme politique policé, étant agreste et bucolique. Ses souteneurs lui conseillent de ne pas se rendre au procès contre son accusatrice Adji Sarr. Mais ce serait un précédent dangereux pour la République.
Empêcher le procès, en dehors de toutes considérations judiciaires, c’est accepter, qu’aux pauvres, il est interdit de rêver. Empêcher ce procès voudrait simplement dire que notre justice est une justice de classes sociales.
Par contre, tenir ce procès, c’est offrir à une fille issue du monde rural de faire face à un homme puissant politiquement et socialement.
Assurément le procès Adji Sarr et Ousmane Sonko est aussi une demande sociale.
Mouhamadou Lamine Massaly
Prèsident du parti UNR