Un rassemblement pour la libération de Coline Fay s'est tenu ce week-end à Grenoble (France). La manifestation a réuni près de 150 personnes. C’était l’occasion pour la famille de la Française de 26 ans, emprisonnée au Camp pénal de Liberté 6, d’appeler une nouvelle fois, à sa libération.
Coline Fay a été arrêtée le 17 novembre dernier, lors d’une manifestation de soutien à Ousmane Sonko. Elle a été placée sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, complot contre l’autorité de l’État, acte ou manœuvre de nature à compromettre la sécurité publique.
Elle a été récemment sortie de prison et placée une deuxième fois, sous mandat de dépôt. Dans cette nouvelle procédure, la jeune Française est poursuivie pour sortie irrégulière de correspondance, notamment.
D’après "Les Échos", qui a rendu compte de la marche, Coline Fay encourt la prison à perpétuité. «La peine qu’elle risque, est totalement démesurée, injuste, inacceptable, pour avoir participé à une manifestation pacifique, peste son père, Jean-Yves Fay, repris par le journal. C’est contraire au droit de manifester, à la liberté d’opinion.»
Ce dernier se dit inquiet. D’autant que, souligne-t-il, sa famille est «dans le flou total». «On n'a aucun retour de (l’État français), pointe Jean-Yves Fay. Est-ce qu’ils font quelque chose ? La presse sénégalaise dit qu’il y a des négociations, mais on n’est pas au courant. On sait seulement que le consulat va la voir de temps en temps et nous dit qu’elle va bien.»
Depuis le 27 décembre, la communication est coupée entre Coline Fay et les siens. «On ne l’a plus au téléphone, ce qui nous rend très inquiets. On ne sait pas comment elle va, si elle tient le choc, si elle garde le moral», martèle Jean-Yves Fay, lit-on dans "Seneweb".
Frère de Coline Fay, Antonin confesse : «Savoir qu’elle est enfermée, c’est dur. C’est pesant. Tous les jours, on pense au fait qu’elle est privée de liberté, que c’est injuste. On ne comprend pas».
Coline Fay a été arrêtée le 17 novembre dernier, lors d’une manifestation de soutien à Ousmane Sonko. Elle a été placée sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, complot contre l’autorité de l’État, acte ou manœuvre de nature à compromettre la sécurité publique.
Elle a été récemment sortie de prison et placée une deuxième fois, sous mandat de dépôt. Dans cette nouvelle procédure, la jeune Française est poursuivie pour sortie irrégulière de correspondance, notamment.
D’après "Les Échos", qui a rendu compte de la marche, Coline Fay encourt la prison à perpétuité. «La peine qu’elle risque, est totalement démesurée, injuste, inacceptable, pour avoir participé à une manifestation pacifique, peste son père, Jean-Yves Fay, repris par le journal. C’est contraire au droit de manifester, à la liberté d’opinion.»
Ce dernier se dit inquiet. D’autant que, souligne-t-il, sa famille est «dans le flou total». «On n'a aucun retour de (l’État français), pointe Jean-Yves Fay. Est-ce qu’ils font quelque chose ? La presse sénégalaise dit qu’il y a des négociations, mais on n’est pas au courant. On sait seulement que le consulat va la voir de temps en temps et nous dit qu’elle va bien.»
Depuis le 27 décembre, la communication est coupée entre Coline Fay et les siens. «On ne l’a plus au téléphone, ce qui nous rend très inquiets. On ne sait pas comment elle va, si elle tient le choc, si elle garde le moral», martèle Jean-Yves Fay, lit-on dans "Seneweb".
Frère de Coline Fay, Antonin confesse : «Savoir qu’elle est enfermée, c’est dur. C’est pesant. Tous les jours, on pense au fait qu’elle est privée de liberté, que c’est injuste. On ne comprend pas».