Selon le communiqué reçu, cette décision fait suite à deux actes préalables posés par le CNRA et que lui impose la Loi en vigueur au Sénégal. Il s’agit de la mise en demeure servie au groupe D média, le 15 mars 2022 et de la décision d’interdiction d’animation des revues de presse et de titre par M. Aïdara, Maire de Guédiawaye, le 29 mars 2022.
Le SYNPICS, fidèle à son rôle de défense des principes fondamentaux qui régissent la profession, et en rapport avec sa mission qui est de promouvoir les libertés journalistiques dans un strict esprit de responsabilité, rappelle que :
• Le journalisme est un métier régi par une charte, des codes et pratiques de portée universelle.
• Le Sénégal est un Etat de droit, organisé. La Loi qui y prévaut, est de portée générale. Elle doit être d’application impersonnelle, permanente sans distinction aucune, dans les seules limites que la Loi elle-même, prévoit.
• Le secteur des médias, ne saurait en aucune façon, constituer une zone de non droit, où un quelconque acteur peut s’extirper du domaine de la LOI et des règlements en vigueur.
Cela dit et rappelé, le SYNPICS invite :
• Le régulateur au respect strict de la LOI, en mettant sur un même pied d’égalité tous les acteurs soumis à son autorité et en motivant toutes les décisions qu’il est appelé à prendre dans ce sens. Le respect de la règlementation dont il a la charge s’applique à tous les acteurs des médias, sans distinction aucune, qu’il s’agisse d’un média public ou privé.
• Aux éditeurs, opérateurs et diffuseurs, en charge d’une mission de service public de l’Information, de se conformer aux décisions du CNRA, où le cas échéant de les contester devant les juridictions compétentes
• Aux journalistes et techniciens des médias, de se conformer aux règles établies par le Code de la Presse et aux règles éthiques et déontologiques qui s’imposent à tout détenteur d’une carte nationale de presse.
• A l’Etat du Sénégal, de faire évoluer et élargir les bases de la régulation du secteur de la presse, en l’adaptant aux réalités technologiques actuelles, intégrant aussi bien le Numérique que le Digital.
Le SYNPICS dit suivre l’évolution de cette affaire et espère vivement que les intérêts des travailleurs seront sauvegardés par leur employeur.
Le SYNPICS, fidèle à son rôle de défense des principes fondamentaux qui régissent la profession, et en rapport avec sa mission qui est de promouvoir les libertés journalistiques dans un strict esprit de responsabilité, rappelle que :
• Le journalisme est un métier régi par une charte, des codes et pratiques de portée universelle.
• Le Sénégal est un Etat de droit, organisé. La Loi qui y prévaut, est de portée générale. Elle doit être d’application impersonnelle, permanente sans distinction aucune, dans les seules limites que la Loi elle-même, prévoit.
• Le secteur des médias, ne saurait en aucune façon, constituer une zone de non droit, où un quelconque acteur peut s’extirper du domaine de la LOI et des règlements en vigueur.
Cela dit et rappelé, le SYNPICS invite :
• Le régulateur au respect strict de la LOI, en mettant sur un même pied d’égalité tous les acteurs soumis à son autorité et en motivant toutes les décisions qu’il est appelé à prendre dans ce sens. Le respect de la règlementation dont il a la charge s’applique à tous les acteurs des médias, sans distinction aucune, qu’il s’agisse d’un média public ou privé.
• Aux éditeurs, opérateurs et diffuseurs, en charge d’une mission de service public de l’Information, de se conformer aux décisions du CNRA, où le cas échéant de les contester devant les juridictions compétentes
• Aux journalistes et techniciens des médias, de se conformer aux règles établies par le Code de la Presse et aux règles éthiques et déontologiques qui s’imposent à tout détenteur d’une carte nationale de presse.
• A l’Etat du Sénégal, de faire évoluer et élargir les bases de la régulation du secteur de la presse, en l’adaptant aux réalités technologiques actuelles, intégrant aussi bien le Numérique que le Digital.
Le SYNPICS dit suivre l’évolution de cette affaire et espère vivement que les intérêts des travailleurs seront sauvegardés par leur employeur.