Ci-devant coordonnateur du Mouvement pour le socialisme et l’unité (Msu), Djibril Seck a officialisé son adhésion au F24 le week-end dernier. Dans son discours du jour, M. Seck invite tous les Sénégalais à considérer «le 25 février 2024» comme «une ère révolutionnaire de l’histoire politique du Sénégal».
Il a soutenu que «le Mouvement pour le socialisme et l’unité (Msu), parti fondé par le défunt président Mamadou Dia, conscient des enjeux de l’heure et des défis à relever pour la consolidation de notre démocratie et de la dignité humaine, a jugé urgent et nécessaire de rejoindre le combat légitime qu’est en train de mener le F24, plateforme regroupant la majorité de l’opposition et de la société civile».
Ainsi, poursuit Djibril Seck, «après concertation, le Msu, fidèle à ses principes, a décidé de signer la charte initiée par cette organisation». Pour le chef de file du Msu, «le patriotisme, incarné par certains leaders, est la seule grandeur qu’un homme politique doit à son peuple».
Puis de jurer devant Dieu, «que la mission du Mouvement pour le socialisme et l’unité (Msu) est de sauver le peuple sénégalais». Digne héritier politique de l’ancien président du Conseil, Mamadou Dia, Djibril Seck a fait sortir le Msu de Benno dès son arrivée à la tête du Parti.
Après une formation à l’Ensut, il a servi à Air Sénégal avant de poursuivre ses études à la prestigieuse Université de Moncton dans le Nouveau–Brunswick sur la côte Ouest du Canada. Il sera, par la suite, recruté par le gouvernement fédéral canadien, au sein même de l’administration et des services, ensuite à la direction des services maritimes (monitoring & information management, surveillance et gestion de l’information) au ministère fédéral des Gardes côtes canadiennes.
Il a soutenu que «le Mouvement pour le socialisme et l’unité (Msu), parti fondé par le défunt président Mamadou Dia, conscient des enjeux de l’heure et des défis à relever pour la consolidation de notre démocratie et de la dignité humaine, a jugé urgent et nécessaire de rejoindre le combat légitime qu’est en train de mener le F24, plateforme regroupant la majorité de l’opposition et de la société civile».
Ainsi, poursuit Djibril Seck, «après concertation, le Msu, fidèle à ses principes, a décidé de signer la charte initiée par cette organisation». Pour le chef de file du Msu, «le patriotisme, incarné par certains leaders, est la seule grandeur qu’un homme politique doit à son peuple».
Puis de jurer devant Dieu, «que la mission du Mouvement pour le socialisme et l’unité (Msu) est de sauver le peuple sénégalais». Digne héritier politique de l’ancien président du Conseil, Mamadou Dia, Djibril Seck a fait sortir le Msu de Benno dès son arrivée à la tête du Parti.
Après une formation à l’Ensut, il a servi à Air Sénégal avant de poursuivre ses études à la prestigieuse Université de Moncton dans le Nouveau–Brunswick sur la côte Ouest du Canada. Il sera, par la suite, recruté par le gouvernement fédéral canadien, au sein même de l’administration et des services, ensuite à la direction des services maritimes (monitoring & information management, surveillance et gestion de l’information) au ministère fédéral des Gardes côtes canadiennes.