Le cyber harcèlement constitue une problématique majeure à laquelle sont confrontés les utilisateurs de l’internet. Le harcèlement via internet se fait de nos jours par courriels, les réseaux sociaux, parfois à travers des commentaires sur des publications sur internet ou sur YouTube, rapporte "Sud Quotidien".
Selon le commissaire Aly Kandé, chef de la Division spéciale Cybercriminalité, le cyber harcèlement est le fait d’utiliser les technologies d’information et de la communication, pour porter délibérément atteinte à un individu, d’une manière répétée dans le temps. «C’est une forme d’agression qui se caractérise par la réception non désirée et répétée de messages, par tous les canaux, pour nuire à une ou un groupe de personnes. Cela se traduit, à la longue, par une dégradation de la santé physique ou mentale de la personne harcelée. C’est une forme de malfaisance qui n’épargne aucune catégorie de la société», prévient-il.
Par ailleurs, il informe qu’au sein de la Division spéciale de la Cybercriminalité, le harcèlement le plus récurent concerne les diffusions de données à caractère personnel, notamment des images et vidéos qui pourraient porter atteinte à l’intégrité morale de la personne. «La couche féminine est la plus grande victime de ce harcèlement, car n’ayant pas assez d’outils pour faire face à de telles pratiques. Toutefois, il faut noter que toutes les tranches d’âges et couches sociales sont parmi les victimes», souligne le commissaire.
Dans sa politique de lutte contre ces types d’infractions, Commissaire Kandé révèle que la Police nationale a mis en place un ensemble de structures de veille, d’alerte et de prévention, pour protéger les populations contre ces fléaux. «La Division spéciale de Cybercriminalité occupe une place de choix pour le traitement de ces infractions. En effet, elle constitue un cadre où les victimes sont accueillies», ajoute-t-il.
Cependant, il indique que la meilleure prévention contre le cyber harcèlement, consiste à protéger ses données personnelles par la gestion des paramètres de confidentialité sur les réseaux sociaux.
Selon le commissaire Aly Kandé, chef de la Division spéciale Cybercriminalité, le cyber harcèlement est le fait d’utiliser les technologies d’information et de la communication, pour porter délibérément atteinte à un individu, d’une manière répétée dans le temps. «C’est une forme d’agression qui se caractérise par la réception non désirée et répétée de messages, par tous les canaux, pour nuire à une ou un groupe de personnes. Cela se traduit, à la longue, par une dégradation de la santé physique ou mentale de la personne harcelée. C’est une forme de malfaisance qui n’épargne aucune catégorie de la société», prévient-il.
Par ailleurs, il informe qu’au sein de la Division spéciale de la Cybercriminalité, le harcèlement le plus récurent concerne les diffusions de données à caractère personnel, notamment des images et vidéos qui pourraient porter atteinte à l’intégrité morale de la personne. «La couche féminine est la plus grande victime de ce harcèlement, car n’ayant pas assez d’outils pour faire face à de telles pratiques. Toutefois, il faut noter que toutes les tranches d’âges et couches sociales sont parmi les victimes», souligne le commissaire.
Dans sa politique de lutte contre ces types d’infractions, Commissaire Kandé révèle que la Police nationale a mis en place un ensemble de structures de veille, d’alerte et de prévention, pour protéger les populations contre ces fléaux. «La Division spéciale de Cybercriminalité occupe une place de choix pour le traitement de ces infractions. En effet, elle constitue un cadre où les victimes sont accueillies», ajoute-t-il.
Cependant, il indique que la meilleure prévention contre le cyber harcèlement, consiste à protéger ses données personnelles par la gestion des paramètres de confidentialité sur les réseaux sociaux.