Saluant l’engagement logistique et matériel de l’Ucg, Ousmane Niang ne manque pas de plaider en faveur du projet de dépollution de la baie de Hann qui présente des lenteurs. «Le projet de dépollution de la baie de Hann a démarré depuis un an, mais actuellement les travaux sont au ralenti. Il y a eu des travaux qui ont été effectués, notamment sur notre côté de la baie.
Des tranchées ont été creusées, des tuyaux ont été installés, mais le projet est à l’arrêt de notre point de vue, et nous en profitons pour lancer un appel», déclare Ousmane Niang. Il ajoute que le projet présenté aux populations englobe le traitement des eaux usées, avec la mise en place d’une station d’épuration.
«Cette station d’épuration doit reverser les eaux usées traitées dans la baie et les populations se posent beaucoup de questions sur le niveau de traitement de ces eaux usées. Nous avons beaucoup d’attentes», assure-t-il.
La récurrence des déchets solides et le niveau de traitement des eaux usées en question
Abondant dans le même sens, Mbacké Seck salue cette initiative des populations riveraines de Marinas. Il relève, cependant, que c’est un travail de longue haleine.
«Depuis belle lurette les riverains se retrouvent régulièrement sur la plage pour enlever les ordures, et d’une manière récurrente les ordures reviennent en provenance de la mer. Nous avons l’accompagnement de l’Ucg, parfois de la mairie mais c’est un travail très lassant. C’est pourquoi, cette année, nous avons décidé de mettre l’accent sur la sensibilisation, avec cette exposition de photographies que nous avons déjà déployée avec Nataal Mag au parc de Hann, que nous allons déployer dans les Cem de Thiaroye, de Mbao et de Hann pour sensibiliser les élèves», assure Mbacké Seck.
«Depuis un an les travaux ne progressent pas»
Se définissant comme une sentinelle de la baie de Hann, il fait le point sur le projet de dépollution qui avance au ralenti.
«La baie de Hann est un grand problème, mais nous sommes sur la bonne voie parce que la population est consciente de la pollution et de ses effets sur son quotidien, l’État est conscient de ses responsabilités. Les marchés ont été attribués, mais malheureusement les sociétés attributaires ne sont pas à la hauteur. Il faut appeler un chat un chat, depuis un an les travaux ne progressent pas.
Les moyens sont mobilisés, depuis une dizaine d’années on attend, donc nous appelons l’Onas et tous les responsables de l’administration à pousser pour que les sociétés attributaires fassent le travail correctement, parce que nous avons suffisamment attendu, nous sommes suffisamment victimes de cette pollution et il faudrait qu’elle trouve un terme grâce à une volonté politique des hautes autorités», préconise Mbacké Seck
Tribune
Des tranchées ont été creusées, des tuyaux ont été installés, mais le projet est à l’arrêt de notre point de vue, et nous en profitons pour lancer un appel», déclare Ousmane Niang. Il ajoute que le projet présenté aux populations englobe le traitement des eaux usées, avec la mise en place d’une station d’épuration.
«Cette station d’épuration doit reverser les eaux usées traitées dans la baie et les populations se posent beaucoup de questions sur le niveau de traitement de ces eaux usées. Nous avons beaucoup d’attentes», assure-t-il.
La récurrence des déchets solides et le niveau de traitement des eaux usées en question
Abondant dans le même sens, Mbacké Seck salue cette initiative des populations riveraines de Marinas. Il relève, cependant, que c’est un travail de longue haleine.
«Depuis belle lurette les riverains se retrouvent régulièrement sur la plage pour enlever les ordures, et d’une manière récurrente les ordures reviennent en provenance de la mer. Nous avons l’accompagnement de l’Ucg, parfois de la mairie mais c’est un travail très lassant. C’est pourquoi, cette année, nous avons décidé de mettre l’accent sur la sensibilisation, avec cette exposition de photographies que nous avons déjà déployée avec Nataal Mag au parc de Hann, que nous allons déployer dans les Cem de Thiaroye, de Mbao et de Hann pour sensibiliser les élèves», assure Mbacké Seck.
«Depuis un an les travaux ne progressent pas»
Se définissant comme une sentinelle de la baie de Hann, il fait le point sur le projet de dépollution qui avance au ralenti.
«La baie de Hann est un grand problème, mais nous sommes sur la bonne voie parce que la population est consciente de la pollution et de ses effets sur son quotidien, l’État est conscient de ses responsabilités. Les marchés ont été attribués, mais malheureusement les sociétés attributaires ne sont pas à la hauteur. Il faut appeler un chat un chat, depuis un an les travaux ne progressent pas.
Les moyens sont mobilisés, depuis une dizaine d’années on attend, donc nous appelons l’Onas et tous les responsables de l’administration à pousser pour que les sociétés attributaires fassent le travail correctement, parce que nous avons suffisamment attendu, nous sommes suffisamment victimes de cette pollution et il faudrait qu’elle trouve un terme grâce à une volonté politique des hautes autorités», préconise Mbacké Seck
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