Le griot du Président Macky Sall et non moins député à l'Assemblée nationale s’est encore tristement distingué. Profitant de l’émission "Sen Jotay", dont il était l’invité, hier, dimanche, sur la Sen tv, le député-maire d'Agnam (département de Matam) s’en est vertement pris à une "certaine presse", citant, du coup, votre site d’informations préféré : Leral.net. Une attitude vraiment indigne d’une personnalité de son rang. Aux dires du parlementaire, ses adversaires politiques (de l’Apr) utilisent les services de journalistes pour le traîner dans la boue. Des accusations, somme toute, gratuites, mensongères et calomniatrices. N’est-ce pas, c’est ce même Farba Ngom, il y a juste deux mois, lors de son fameux meeting d’Agnam, citait Leral en exemple (voir vidéo-ci de dessous).
En réalité, le griot de Macky Sall pense qu’il peut acheter les journalistes avec son argent dont l’origine reste douteuse. Il y a quelques années, Farba Ngom, alors simple chambellan de Macky Sall, éprouvait d’énormes difficultés pour se rendre dans son Fouta natal.
Aujourd’hui que son maître est au pouvoir, l’homme est devenu le fou du roi, pensant qu'après ce dernier, c'est lui. Il y a une semaine, nous parlions de l’argent qu’il a remis au nom du chef de l’Etat aux Sénégalais expulsés du Gabon. Farba Ngom, courroucé par la publication de cette information, a joint le Fondateur de leral, pour l’abreuver d’injures, ajoutant au passage qu’il connaît le financier du site qui serait, d’après ses allégations, un richissime homme d’affaires de l’Apr. Nous défions quiconque, Farba Ngom compris, d’apporter la preuve que Leral est soutenu par un homme d’affaires politique, du pouvoir comme de l'opposition, de qui il tire ses revenus. Que Farba Ngom choisisse l’organe de presse qu’il veut et y publie "les informations compromettantes" qu’il dit détenir contre Leral. Et, au cas où il se garderait de le faire, la direction de leral se réservera le droit d’user de son droit.
Leral, comme nous l’avions annoncé dernièrement, n’est là pour personne, par conséquent, nous ne laisserons personne s’abriter derrière nous aux fins d’accomplir de basses besognes. Nous collons une importance capitale aux règles déontologiques qui régissent le métier du journalisme. Aujourd’hui, disons-le en toute franchise, beaucoup sont ceux qui désertent le terrain du peuple moyennant des espèces sonnantes et trébuchantes. Nous touchons du bois : ni l’administration de votre site ni aucun de ses agents crédités ne sont impliqués dans ce méli-mélo affairiste. Avec les moyens si modestes dont nous disposons, nous entendons toujours exceller en jouant le rôle de vrais watchdog (chiens de garde), pour parler comme les Américains. Que ce pignouf de Farba Ngom sorte des bizarreries dans le chapeau du diable pour nous accuser ne saurait nous ébranler. Mais, pour l’intérêt supérieur du peuple souverain, il est grand temps de stopper les fourberies du fou furieux Farba. A un de ses quatre…
Aujourd’hui que son maître est au pouvoir, l’homme est devenu le fou du roi, pensant qu'après ce dernier, c'est lui. Il y a une semaine, nous parlions de l’argent qu’il a remis au nom du chef de l’Etat aux Sénégalais expulsés du Gabon. Farba Ngom, courroucé par la publication de cette information, a joint le Fondateur de leral, pour l’abreuver d’injures, ajoutant au passage qu’il connaît le financier du site qui serait, d’après ses allégations, un richissime homme d’affaires de l’Apr. Nous défions quiconque, Farba Ngom compris, d’apporter la preuve que Leral est soutenu par un homme d’affaires politique, du pouvoir comme de l'opposition, de qui il tire ses revenus. Que Farba Ngom choisisse l’organe de presse qu’il veut et y publie "les informations compromettantes" qu’il dit détenir contre Leral. Et, au cas où il se garderait de le faire, la direction de leral se réservera le droit d’user de son droit.
Leral, comme nous l’avions annoncé dernièrement, n’est là pour personne, par conséquent, nous ne laisserons personne s’abriter derrière nous aux fins d’accomplir de basses besognes. Nous collons une importance capitale aux règles déontologiques qui régissent le métier du journalisme. Aujourd’hui, disons-le en toute franchise, beaucoup sont ceux qui désertent le terrain du peuple moyennant des espèces sonnantes et trébuchantes. Nous touchons du bois : ni l’administration de votre site ni aucun de ses agents crédités ne sont impliqués dans ce méli-mélo affairiste. Avec les moyens si modestes dont nous disposons, nous entendons toujours exceller en jouant le rôle de vrais watchdog (chiens de garde), pour parler comme les Américains. Que ce pignouf de Farba Ngom sorte des bizarreries dans le chapeau du diable pour nous accuser ne saurait nous ébranler. Mais, pour l’intérêt supérieur du peuple souverain, il est grand temps de stopper les fourberies du fou furieux Farba. A un de ses quatre…